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Les insectes attaquant les hommes ou les animaux
abeilles, bourdons, guêpes, frelons,
taons, simulies mouches des étables, hypoderme, mouches à viande,
tiquesles insectes ravageurs des cultures
Quand on se pique d'érudition....
"Ca pique! AH La sale bête elle m'a bien mordu"Quel randonneur n'a pas au moins une fois entendu ces cris? En fait dans bien cas ces accidents pourrait être prévenus. Certains insectes piquent, d'autres mordent, perforent ou pénêtrent l'organisme de leur victime. Je vous propose un bref tour d'horizon et une gallerie de portrait de quelques uns de ces gêneurs occasionnels.
NB Souvent ces insectes sont sensibles aux couleurs évitez à tout prix le jaune, cette couleur attire!
Une couleur blanche, brune et verte est au contraire neutre.
"Les abeilles"
Les abeilles sont des insectes sociaux vivant en colonies de plusieurs milliers d'individus. Les abeilles sont consommatrices de pollen, de nectar, de résines qu'elles collectent sur les plantes. L'abeille pas plus que les guêpes ne pique spontannément, il faut qu'elle se sente agressée. NE JAMAIS faire de mouvement brusque si l'une d'elle se pose sur vous. Le dard de l'abeille est muni d'aiguillons et une fois enfoncé celui reste dans la blessure, si l'insecte se libére, généralement c'est l'abdomen déchiré pour mourir plus loin, laissant en place le dard, les glandes à venin bien attachées et continuant à injecter le venin. NE PAS PRESSER sur celles-ci, vous ne ferriez qu'agraver le mal déjà fait. Avec une pince ou une lame de couteau retirer le dard en intervenant sous les glandes (les deux petits sacs situés au sommet de l'aiguillon).Bien que se soit plus facile à dire qu'à faire, il vaut mieux rester calme et s'abstenir de tout geste brusque. Le dard d'une abeille étant muni de barbillons, l'abeille ne peut le retirer. En se dégageant, l'abeille se déchire l'abdomen, le dard et les glandes à venin restant fixés dans la plaie. Mais les glandes a venins restent fichées dans la peau et injectent le venin. Ne pas se saisir du dard entre deux doigts pour le retirer ! En effet vous ne feriez que vous injecter tout le contenu des glandes.. "ceuillez" plutot le dard et les glandes à la maniere d'un coup de swing de golf ou de coup de patte d'un chat . Par un mouvement en cuillere de votre main l'ongle raclant la peau et se relevant en touchant le dard et les glandes. L'ensemble est alors extrait sans que le contenu ne soit injecté.
Au contraire le dard lisse de la guêpe permet à celle-ci de se dégager et de piquer à nouveau.
Normalement les abeilles ne piquent rarement et qu'isolement, toutefois, de mai à mi juillet suivant le temps, les abeilles essaiment : une partie de la colonie quitte celle-ci pour chercher un autre abri. A ce moment vous pourriez rencontrer plus d'un millier de ces insectes, formant une grappe aux endroits les plus farfelus. Evitez de passer juste à son endroit Un essain qui a quitté sa ruche depuis plusieurs jours est très nerveux , bourdonne de manière très audible, et est environné d'un nuage d'abeilles. Un passage au sein d'un tel essain peut provoquer de nombreuses piqures Rassurez vous vos chevaux l'auront repéré avant vous.
Avertissez l'apiculteur le plus proche, il accourrera "ceuillir" l'essain. Lors de vos randonnées vous passerez parfois près de ruchers. Observez les ruches un des cotés est muni d'ouvertures et de petites planchettes horizontales : les planches de vol; passez du côtè opposé à ces plans d'atterissage pour abeilles!
Il n'y a pas PAS d'incompatibilité entre ruchers et chevaux si les distances élémentaires sont respectées. Les abeilles "défendent" une zone de 20m autour de leur colonie. Normalement aucune ruche (sauf protégée par un mur de 2m) ne peut être placée à moins de 20m d'une cloture ou d'une voirie. Fréquement en randonnée vous croiserez au loin des ruchers avec des ruches aux couleurs vives et bourdonnantes d'activté. Passez du coté Nord des ruches! Les ruches sont ainsi orientées que les abeilles ne sortent ni ne reviennent de ce coté, elles s'orientent vers le plan de vol, sorte de piste d'aérodrome pour abeilles.
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Illustré :Abeille domestique Apis mellifera
taille : ±1cm
couleurs : bun noir trace de jaune aspect duveteux
habitat : zones fleuries ensoleillées, essains en forme de poire, nid dans cavités
type d'attaque : dard et glandes à venin
traitement : retirer le dard par endessous sans pressez les glandesplus sur l'apiculture et les abeilles : http://abeilles.ibelgique.com
Les bourdons :
plus bruyants que dangereux
illustré Bombus terrestris
taille : ±3cm assez trapu
couleurs bande blanche jaune noire
habitat idem abeille mais plus matinal vol bruyant
type d'attaque : rare attention toutefois les nids sont dans le sol, ballots de pailles, etc
traitement retirer le dard
"Les guêpes"
Les guêpes et leurs proches cousins les frelons sont des insectes sociaux dont le nid réalisé en papier en forme de boule irrégulière peut en abriter plusieurs centaines. Attirées par la présence de sucre et de viande pour l'élevage de leurs larves les guêpes sont en fait des prédateurs très utiles de chenilles et autres insectes. Comme pour les abeilles, les mouvements brusques les affollent et elles "se défendent" en piquant. Comme leur dard est plutôt lisse il leur est possible de le retirer de l'endroit de piqure.
Guêpe commune Vespula vulgaris,
taille ± 2cm
couleurs dessins noirs et jaunes, taille "de guêpe" masque noir sur la tête
habitat même en sous bois, nid en papier, boule irrégulière
type d'attaque piqure par dard
les frelon Vespa cabro
taille 5cm
couleurs jaune et rouge brun plus massif que la guêpe
habitat région chaudes
type d'attaque piqure par dard
Non dangereux mais mimetiques les sirphides, les sesies,
2 ailes au lieu des 4 pour guêpes et abeilles
illustré Syrphus ribesii
"Les mouches"
Les taons
Ce sont sont des mouches brunâtres assez rectangulaires. Si les males butinent, les femelles sont hématophages. Elles piquent avec des pièces buccales acérées en stylet assez large. La douleur est vive, et ce d'autant plus que le vol des taons est silencieux. En plus du sang elles sont interressées par toutes les zones humides du corps.illustré Taon des boeufs Tabanus bovinus (L.)
taille ±1,5cm
couleurs brunâtre oiel vertâdres avec reflets métaliques
habitat zones de paturage, allées dégagées
type d'attaque vol silencieux morsure et piqure
Les simulies
Normalement sans gravité les piqures des simulies ne deviennent dangereuses que si des essains se forment. Les larves de ces insectes sont aquatiques et des essains peuvent se former le long des bosquets dans les prairies traversées par des ruisseaux aux eaux vives. Les services vétérinaires diffusent des avis de préventions dans les zones à risque.illustré Simulie Simulium equinum (L.)
taille ±5mm
couleurs noire corps trapu ailes 1/2 aussi large que longues
habitat le long de ruisseaux et rivières bien oxygénés
type d'attaque piqure avant ponte par les femelles ,
danger : essains le long de cours d'eau
"Les mouches des étables"
Les mouches de cette famille sont souvent dépourvues d'ailes, le corp aplati et coriace et les pattes munies de griffes pour s'accrocher aux poils. Les deux sexes sont hématophages et les femelles donnent régulièrement naissance à une larve qui se nymphose presque immédiatement. L'Hippobosque du cheval est présent sur les chevaux, les bovins et parfois les chiens, les piqures sont peu douleureuses mais régulières et de par les irritations qu'elles entraînent peuvent ouvrir la voie aux espèces de lucilies (mouches à viande)et aux infections.
illustré Hippobosque equine Hippobosca equina L.
taille ±1cm
couleurs brun jaune thorax avec tache noire
habitat pelage des animaux
type d'attaque morçures répétées
Les Hypodermes
Les larves vivent sous la peau des leurs hôtes, les femelles pondent sur les pattes et la larve pénêtre la peau et progresse jusqu'au dos de l'animal où elle provoque un abcès. Les larves sont assez grosses et "épineuses". Au centre de l'abcès elles pratiquent un petit trou pour respirer.
illustré Hypoderma bovis (L.)
Hypoderme bovine Hypoderma bovis (L.)
taille 3cm
couleurs noire
habitat en prairie pondent sur les jambes
type d'attaque larve pénétrante et se developpant en formant des abces
"Les mouches à viande"
Si les adultes ne piquent pas les larves se nourrissent de tissus morts ou blessés. Les larves des lucilles se développent avec grande rapidité dans les plaies ouvertes et peuvent constituer un réel problème.
illustré Lucilla caeesar (L.)
taille ± 1cm
couleurs vert métalique
habitat recherche les plaies et cadavres
type d'attaque larves se developpant dans les tissus
Les insectes ravageurs des cultures et installations
en preparation
"Les fourmis"
éviter de marcher dans les nids, prevention l'eau de javel : elles en detestent l'odeur et évitent les endroits ainsi marqués, curratif des feuilles de plantain frottées sur la zone irritée.
les termites
Les tipules
Les tiques et la piroplasmase
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Comment les chevaux attrapent-t-ils la piroplasmase?
La piroplasmose n'est pas contagieuse de cheval à cheval. Il faut obligatoirement qu'une tique véhicule le microbe d'un cheval l'autre pour que la maladie se répande. Tout comme le SIDA, la piroplasmose peut se transmettre par une seringue ou une aiguille contaminée auprès d'un cheval atteint. Par conséquent, pas plus que chez l'homme, il ne faut utiliser pas une même seringue ou une une aiguille pour faire des piqûres à plusieurs chevaux de suite.Il existe deux espèces différentes de Babésia qui provoquent la babésiose (pîroplasmose). L'un Babesia equi est plus dangereux autre Babesia caballi. Toutes les tiques ne transmettent pas cette maladie. Seules certaines espèces de tiques bien précises trois en France peuvent servir de véhicule aux agents de la piroplasmose. Ce sont les tiques femelles qui mordent les chevaux (entre autres grands herbivores) pour y pondre leurs oeufs. Si le cheval mordu est porteur de la piroplasmose, la tique repart porteuse du germe de la maladie, sans trop en souffrir les Babesia vont alors se multiplier dans la salive de la tique qui va contaminer le prochain cheval qu'elle piquera. En effet, la tique injecte sa salive empecher la coagulation du sang de l'animal qu'elle mord.
La tique preleve du sang pour pouvoir pondre (comme la femelle moustique) les larves grandissent dans les hautes herbes et broussailles et attendent qu'un grand mamifère passe à leur portée pour s'y accrocher avec leurs huit pattes. Elle changera d'hote pour se reproduire et risque donc de répandre la maladie.
Le cheval qui vit dans une zone ou coexiste la Babesia et les tiques aura eu toutes les chances d'être contaminé alors qu'il était jeune et aura développé des anticorps. Au contraire un cheval indemne arrivant dans une zone infestée aura de fortes probabilité de subir une iroplasmose aigue à moins de recevoir un traitement préventif un peu comme la quinine prise en zone tropicale pour se protéger d'attaques de paludisme. Le mieux est de se concerter avec un vétérinaire local qui pourra indiquer quels produits sont actifs dans la zone concernée.
Le problème essentiel pour le cavalier est de retirer la tique du corps du cheval le plus rapidement possible. Il existe un petit appareil (style pied de biche) disponible en pharmacie apellé "O'Tom" qui permet de retirer l'hématophage tête comprise. Enfin des produits repellants existent aussi.
Point Véto Babesia equi, Babesia caballi...par Virginie VICARD (paris turf ) Les chevaux vivant au pré sont plus exposés que les autres à la piroplasmose.
La coloration jaune constatée à l'examen des muqueuses est l'un des signes cliniques de la maladie.
Systématiquement effectuée en cas de doute, la prise de sang révèle une anémie importante chez un sujet atteint de piroplasmose. Babesia equi, Babesia caballi, de jolis sobriquets et pourtant... quelles vilaines petites bêtes, parasites responsables d'une maladie hélas bien connue : la piroplasmose (désignée sous le terme scientifique de babébiose). Autrefois concentrée dans les régions tropicales et subtropicales, la «piro» est aujourd'hui partout, y compris en Europe occidentale. Transmise par les tiques, cette affection, aiguë ou chronique, est une maladie parasitaire ancienne, qui sévit également dans notre pays, avec une plus grande fréquence observée dans les régions du Midi. Depuis une quinzaine d'années, on constate une recrudescence de la piroplasmose. Le phénomème peut s'expliquer de différentes façons : le facteur climatique changeant (plus de sécheresse, des hivers moins rigoureux), l'évolution des moyens de transport et des échanges commerciaux (donc les éplacements), un déficit d'entretien de certains lieux (moins de débroussaillage), etc.
Le parasite qui nous intéresse appartient à la famille des protozoaires, c'est le piroplasme. Pour assurer son développement, le piroplasme a besoin d'être hébergé par ce que les vétérinaires appellent des «hôtes intermédiaires», dont font justement partie les tiques. Pour vivre, la tique se nourrit du sang de différents mammifères, dont le cheval, et c'est en ponctionnant son sang qu'elle lui injecte le parasite piroplasme, responsable de la maladie. Il n'y a encore pas si longtemps, la piroplasmose se manifestait principalement au début de l'été, mais les praticiens constatent une généralisation du phénomène à toutes les saisons, avec un pic observé fin septembre et début octobre.
Quel que soit leur âge, tous les chevaux peuvent être infectés, dès l'instant qu'ils avoisinent des lieux fréquentés par les tiques (qui, heureusement, ne sont pas toutes porteuses du piroplasme). Les sujets les plus exposés sont évidemment les chevaux qui vivent continuellement ou partiellement au pré ou au paddock, au contact des bois, taillis et hautes herbes. Les équidés habitués à l'air libre développent souvent une immunité partielle mais, pour autant, ils ne sont pas à l'abri de la maladie. La tique n'est pas une puce, elle ne saute pas sur un animal, ni d'un animal sur l'autre. Le cheval la récupère par contact direct avec l'herbe, les broussailles, lors d'un trotting s'il traverse des passages forestiers mal entretenus, ou tout simplement au box, car des tiques sont parfois repérées dans les fourrages, paille ou foin.
Vite pris, vite soigné
Les vétérinaires disposent aujourd'hui de connaissances et de moyens suffisamment étendus pour enrayer tôt la piroplasmose. Le processus de la maladie est le suivant : une fois posée, la tique injecte au cheval le piroplasme en se nourrissant de son sang. Le parasite pénètre dans les globules rouges. Ceux-ci éclatent et libèrent de l'hémoglobine, laquelle, en se dégradant, produit de la biliburine. Les premiers signes cliniques sont tout à fait caractéristiques : fatigue, hébétement, perte d'appétit, poussées de fièvre souvent importantes, oedèmes des membres dus à la mise en route du processus infectieux, coloration brune des urines, coloration jaune des muqueuses et, parfois, coliques. L'analyse du sang des chevaux malades montre une anémie et une augmentation de la biliburine. Face à la maladie déclarée, le vétérinaire injecte un antiparasitaire. L'administration de diurétiques est prescrite pour pallier les toxicités rénales et hépatiques découlant du processus de dégradation des globules rouges. Le cheval est évidemment mis au repos complet, jusqu'à ce qu'il récupère sa « lignée rouge » (son taux habituel de globules rouges) et retrouve des fonctions hépatiques et rénales normales. Perfusions et anti-inflammatoires sont utilisés dans les cas extrêmes. Une piroplasmose rapidement diagnostiquée et soignée demeure sans conséquence grave.Un cheval infecté par un piroplasme ne déclenche pas pour autant la maladie, dès l'instant que son système immunitaire est suffisamment fort pour lutter contre l'attaque du parasite. Les poulains ou chevaux d'âge qui vivent au pré appartiennent souvent à ce cas de figure. Tous sont en excellent santé, mais un stress peut suffire à déclencher le processus infectieux, à développer l'expression clinique de la maladie, et l'apparition des symptômes précédemment décrits. C'est un phénomène souvent observé avec les poulains. Tant que ceux-ci restent au pré, rien ne se passe ; mais une fois mis au box, le stress dû au changement et au débourrage suffit à provoquer la maladie. Cette affection n'est pas contagieuse, puisqu'il n'y a pas de voie de transmission comme cela existe dans le cas des virus. En revanche, des précautions sanitaires, plus ou moins sévères d'un pays à l'autre, sont systématiquement mises en place : isolation, désinfection aux insecticides... notamment dans le cadre de compétitions internationales ou d'échanges culturels ou commerciaux.
Comme pour toutes les affections, la prévention est encore le meilleur moyende lutter. L'usage d'antiparasitaires par voie injectable est très efficace chez les chevaux qui reviennent du pré, de même que l'emploi d'antiparasitaires locaux à badigeonner sur tout le corps. Un entretien des lieux (débroussaillage régulier) fait encore partie de ces gestes simples qui évitent bien des ennuis... Car là aussi, mieux vaut prévenir que guérir.
Notes les tiques véhiculent aussi un parasite de l'homme qui cause la maladie de LYME carractérisée par des tétanies surtout phalangienne.
Lyme Disease
Lyme disease is an illness caused by the bacterium Borrelia burgdorferi. It is most commonly transmitted by the bite of an infected Ixodes species ticks, also known as "deer ticks" or "black legged ticks." Not all Ixodes ticks are infected with Borrelia burgdorferi. In areas highly endemic for Lyme disease, such as the northeastern and mid-Atlantic United States, Minnesota, Wisconsin, and northern California, a greater proportion of ticks will likely be infected than in areas where Lyme disease is less common. For the entire article, visit http://www.myHorseMatters.com, log in, and type "Bushmich" as your keyword.
LEXIQUE
hématophage : se nourissant de sang
pièces buccales : équivalent chez les insectes de nos machoires et mandibules, ces pièces peuvent avoir l'aspect d'une trompe, de stylets, de pompes,....Bibliographie
Multiguide nature des insectes d'Europe, M Chinery, 1973,1976,1981
Ed Bordas ISBN 2-04-012575-2
Voir les conseils du site Eequus
http://www.multimania.com/chuchote/cheval/so_soins/insectes.html
mais j'ajouterais que personnelement c'est la couverture en nid d'abeille ou le tapis de selle qui est imprégné du repoussant, plus efficce et pratique pour l'application.un petit appareil américain appelé `` Itchstopper`` qui marche très bien pour neutraliser les piqûres d`insectes ainsi que
toute démangeaison causée par dermatites, etc. Je l`ai essayé sur des piqûres de taon qui sont douleureuses et qui démangent pendant des heures. C`est un petit appareil électronique qui fonctionne en ``applicant à la peau une énergie spécifique et modulée. On pense que cela stoppe la dégranulation des cellules basophiles/mastocytes de la peau détruisant de ce fait plusieurs sortes de toxines exogènes, telles que les acides des insectes piqueurs, et toxines endogènes, telles que les antigènes-allergènes de la nourriture`` (ma traduction éclair).
Ça marche donc pour l`urticaire, les dermatites et les piqûres d`insectes.
Les trucs et astuces de l'ecurie |
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