Le furet est essentiellement CARNIVORE !
Le furet et son alimentation...
donc il mange des produits carnés au sens large
(vos doigts aussi vous l'avez mal élevé...)Le furet est un petit prédateur.
Il préleve son alimentation et va la manger à l'abri.
En vie domestique ce comportement se traduit par le transport
de la nourriture entre sa gamelle et son coin favori.Le furet a un métabolisme très actif, et un très petit estomac.
Ceci le contraint à de très fréquents et courts repas
Heureusement il est vite rassasié.Que peut on lui donner ?
Le plus simple est d'utiliser la nourriture conditonnée pour chatons.
Il faut malgré tout la complémenter par
des lipides car elle est un peu trop pauvre.
Le mieux est de choisir des gras de vaollaile
(croupillo, peau du dos etc ...) ou des poissons gras :
saumon, thon, elbot fumé etc en complément.
Besoins alimentaires...
le furet devrait avoir un régime contenant moins de 2% de de cendres ou fibres min 35% en protéines animales 25% poulet + 10 % autres sources) min 20% en acides gras (l'énergie pour le furet) rem les % d'origines végétale sont très mal digéré par le furet. éléments vitaminiques indispensables 0,2% en Taurine contrairement à des rumeurs persistantes il y a bien eu une étude scientifique sur l'alimentation du furet modèle biologique pour l'étude de maladies et des toxicités enfin bref les chercheurs devaient avoir des furets tout à fait bien portants pour pouvoir comparer avec ceux auquels ils appliquaient les tests... donc les données existent bien et qui plus est elles sont récentes la bibliographie compléte sur le furet... http://netvet.wustl.edu/species/ferrets/ ce qui nous interresse c'est plus : "Growth and development of the European ferret (Mustela putorius)." A.U. Shump and K.A. Shump, Jr. Laboratory Animal Science 28(1):89-91(February 1978). KEYWORDS: growth; development. "Nutrition." D.E. McLain, J.A. Thomas and J.G. Fox. In: Biology and Diseases of the Ferret J.G. Fox (ed.), Lea & Febiger, Philadelphia, 1988. KEYWORDS: animal nutrition; ferrets; diets; feed composition tables. "Reproduction response in ferrets (Mustela putorius furo) consuming purified diet ingredients." D.E. McLain and D.A. Roe. Federation Proceedings 42(5):Abstract 60176(1983). KEYWORDS: nutrition; physiology; feed efficiency; growth rate; gestation. "Digestibility of pelleted feed for mink and ferrets." T. Kiiskinen and J. Makela. Dansk Pelsdyravl 44(5):211-213(May 20, 1981). KEYWORDS: animal nutrition; animal feeds; dietary requirements. "Feed consumption and food passage time in mink (Mustela vison) and European ferrets (Mustela putorius furo)." M.R. Bleavins and R.J. Aulerich. Laboratory Animal Science 31(3):268-269(1981). KEYWORDS: nutrition; diets; food passage time. "Fitch (Mustella putorius furo) diets in New Zealand: An analytical survey." C.G. Rammell, H.V. Brooks, G.R. Bentley and G.P. Savage. New Zealand Veterinary Journal 33:207-209(1985). KEYWORDS: nutrition; diets. Rem : les furets néo zélandais sont des furets echappés et vivant à l'état sauvage, comme le hérisson qui vit labas aussi, ils ne font pas partie de la faune indigène neo-zélandaise, ce sont des furets issus de grande bretagne importés pour éradiquer les rats et qui ont réussi à survivre en liberté... C'est la SEULE région où le furet vit à l'état "sauvage"... Ceci serait très utile pour constater ce qu'un furet parvient à capturer pour survivre LUI !!! et pas suivant ce qu'on lui présente Entretien et pathologie médicale du furet domestique comme nouvel animal de compagnie, These médecine Vétérinaire, Nantes, France 1999, Fayoux, Isabelle, consultable : Library of the National School of Veterinary Science of Nantes, Case Postale 3013, F-44087 Nantes, Cedex 03, France mais la plus interressante est de loin alors celle ci : Titre : ALIMENTATION DU FURET (MUSTELA PUTORIUS FURO) Auteur(s) : BABEANU, S. Source : THESE DE DOCTORAT VETERINAIRE (ALFORT) Date : 2002 Pages : 121 P. Résumé : L'utilisation répandue du furet dans la recherche biomédicale et l'intérêt sans cesse croissant qu'il suscite comme animal de compagnie génèrent une demande de plus en plus pressante concernant l'élaboration et la mise sur le marché d'un aliment spécifiquement adapté à ses exigences nutritionnelles particulières. En effet, le furet, comme notre chat domestique, est un carnivore strict. Mais une physiologie digestive originale lui impose de recevoir régulièrement une alimentation d'excellente qualité nutritionnelle, hautement digestible, riche en lipides et en protéines, et pauvre en fibres. Et ses besoins sont encore accrus lors de phases physiologiquement sensibles, telles que la croissance, la gestation ou la lactation. Chez le furet, l'alimentation est, à elle seule, le facteur le plus important pour garder l'animal en bonne santé et en pleine forme. Dans cette thèse, l'auteur analyse donc les besoins nutritionnels particuliers du furet à chaque stade physiologique de sa vie et étudie dans le détail les différentes pathologies liées de prés ou de loin à son alimentation. Car les déséquilibres ou les erreurs de formulation de la ration peuvent causer des troubles, parfois graves, mais le comportement même du propriétaire est aussi souvent à l'origine de soucis nutritionnels plus ou moins important (obésité, corps étrangers digestifs, intoxications ou infections, . . . ). Pour comprendre et éviter ces erreurs, la dernière partie est consacrée à l'analyse des différents aliments industriels disponibles sur le marché et susceptibles de satisfaire aux besoins nutritionnels du furet. Comme les aliments spécifiques sont encore rares et difficiles à se procurer, les possesseurs de ce nouvel animal de compagnie se verront souvent contraint de recourir à l'utilisation d'aliments industriels pour chats. Des clés leurs sont données pour leurs permettre de juger succinctement de la qualité et de l'adéquation d'un aliment aux exigences du furet. Thème général : J- NAC - carnivore/ N- NUTRITION--ALIM GENERALE - NAC Mot(s)-clé(s) : NAC/ CARNIVORE/ FURET/ ALIMENTATION/ BESOIN NUTRITIONNEL/ TROUBLE NUTRITIONNEL/ ALIMENT INDUSTRIEL/ ALIMENT POUR ANIMAUX ENVL - cote bibliothèque : these : T.022417 ENVA - cote bibliothèque : these : THESE ALFORT 2002 N°095 ENVN - cote bibliothèque : these : A-2002-095 ENVT - cote bibliothèque : these : n°6610 2002 BABEANU on peut aussi lire des informations correctes sur le site http://www.wanimo.com/ besoins alimentaires et troubles digestifs
Les compléments
Si le furet est principalement carnivore
il ne dédaigne pas les fruits et légumes, (petites quantités)
L'herbe pour chat ou la ciboulette
sont particulièrement appréciées.Du côté fruits :
les fruits secs car le furet est très sujet à des diarrhées.Le pain, le pain au sucre, les biscuits à la canelle sont très appréciés mais à ne donner qu'en petites quantités.
Il faut aussi donner des bouts à ronger,
style les "batons" brosse à dent des chiens. , des oreilles sechées de porc, la corne des sabots de cheval etcBoisson :
De l'eau fraîche (changer deux fois par jour si en gamelle), tous les jours si distribuée en biberonsAtttention aux légendes des chasseurs
il est impossible de nourrir un furet au vieux pain et à la bierre!
si le furet adore la bierre, il attrappe la cuite et risque de vous mordre étant ivre.du lait ?
oui et non !!! pas du lait de vache, mais du lait maternisé pour chaton pourra faire l'affaire, sa teneur en lactose est compatible avec les enzymes des furets.
Quelles marques choisir ?
et bien un des problèmes des produits conditionnés est la préférence de substance appétantes ce qui provoque une surconsommation et des GROS problèmes d'obésité (euh oui bon des gros furets donc ...)
personellement Dixie et Mahaat on fait leur choix : une préférence marquée pour des produits SANS additifs de marque Husse.
regardez par vous meme je pense que c'est plus éloquent...
et lisez le commantaire de l'importateur qui n'en revennait pas non plus...
PS : ils livrent à domicile, les patées, les petis morceaux en sauce, les croquettes, la litière, les shampoings, bref tout ce qu'il faut... comme ca je dois pas courrir en animalerie avec mon fauteuil roulant et mes canailles... ;-)
Connaissez-vous les croquettes Husse pour (chats et) furets ? Nos aliments suédois sont 100 % naturels, sans colorants et sans conservateurs. La qualité d'un aliment est évidemment un gage de santé pour votre compagnon furet. Et nos amis les furets semblent plus qu'apprécier les croquettes au poisson et à la dinde... Voyez plutôt: http://dixies.range.free.fr/husse/index.html ! ! Le site principal de Dixie vaut également le détour: http://dixies.range.free.fr Nos sites www.husse.be ou www.catandog.be vous donnent des infos précises sur ces super-croquettes. La composition de celles-ci sont sur http://www.husse.be/composition.htm Nous sommes ravis de récolter vos impressions par email ( husse@busmail.net, info@catandog.be) Cordialement, L'Equipe de Husse Belgium et de Catandog Bruxellesl'avis du véto...
du côté anglais...
un avis pertinent d'un véto pour un refuge de fufus anglais CITATION http://homepage.ntlworld.com/ferreter/health06.htm que je traduis ....Nutrition
Nous avons parcourru du chemin depuis le temps ou le principal conseil à donner aux propriétaires de furets était : " ne les nourrisez pas avec du pain et du lait" Maintenant les questions sont plutôt de la forme "Que puis je donner de mieux à mon furet" Et les propriétaires sont confrontés au délicat choix entre les mélanges pour chats, chiens, furet ou suivant les règles de la diététique humaine. En fait cela devrait être simple pour le furet de la nourriture pour furet .. Non ? En fait ce n'est pas parceque l'étiquette mentionne "nourriture pour furet" que cette nourriture a été testée avec des furets, ni meme qu'elle répond aux besoins des furets Et même si c'est le cas, vous découvrirez que les ingrédiants sont tellement dissemblables qu'il est pratiquement impossible de comparer... Pourquoi certains mélanges affichent 30 % de protéines, d'autres 36%, 39% ou plus encore? Quel est l'optimum ? Et les graisses ? 10%, 15%, 20% et plus ? Et les fibres ? cela varie de moins de 2% à plus de 5%Donc comment choisir ???
Comme pour vous même en fait ! essayer de composer une alimentation équilibrée, il faudrait se décarcasser pour connaître les besoins élémentaires du furet, et comprendre ses besoins physiologiques et leur raison métabolique. Plutôt qu'une revue de litterature sur le enzymes du systeme digestif du furet ou sur les composition de la nourriture, je vous propose un essais de lecture critique des notices des aliments Retenez que les ingrédients des aliments doivent être mentionné par ordre décroissant. Donc une notice commencant par "vollaille" doit contenir plus de "vollaille" que n'importe quel autre ingrédient. Essayer d'éviter les produits ou les protéines végétales prédominent, ainsi que les "aliments" qui n'indiquent pas quel est la source protéinique, ou mentionnent simplement "protéines animales" ou "protéines végétales"Protéines et acides aminés
Les furets sont des carnivores, ils ont des besoins en protéines très élevés qui ne peuvent être rencontré que par des régimes à base de viande. En première approximation, ne retenez que les produits qui comportent au moins 36% de protéine en poids sec. La nature des protéines est aussi importante, cela devrait être des protéines d'origine animale autant que faire ce peut La vollaille est probablement la meilleure source de protéines par rapport à d'autres sources animales : foie, oeufs, et poisson. Et bien que des protéines végétales soient utilisées comme adjuvant industriel, elles ne doivent pas constituer un remplacement des protéines animales Bien que les protéines sont constituées d'acides aminés, il a été découvert récement qu'un acide aminé est particulièrement important pour les furets. Il s'agit de la taurine, qui était aussi connu comme indispensable à d'autres carnivores. Elle ne se trouvent que dans les protéines d'originale animale, renforçant ainsi encore nos raisons de contrôler l'origine animale des protéines.Huiles et acides gras
Ils constituent la source énergétique principale surtout pour un furet qui a un métabolisme actif. Dans les mélanges sec, leur niveau atteint 20-22%. Comme pour le cas des protéines il importe d'examiner la source des ces huiles et acides gras. Les furets ont besoin de certains acides gras essentiels qui ne sont à nouveau présents que dans les graisses animales donc songez aussi à verifier que des gras de poulets, de porc, ou de boeuf ou que dans des huiles de poisson sont présents parmi le ingrédients. De plus les graisses animales rendent le mélange plus appétant pour le furet. Des huiles végétales extraites de maïs, de soja, ou similaire seront parfois utilisées pour adapter les niveaux d'huiles, préférez leur des huiles de poisson. Les apports correct tant en proportion qu'en origine sont importants pour maintenir la peau et le poil sains.Les carbohydrates et les fibres
Les carbohydrates et les sucres simples ne font pas partie du régime normal d'un carnivore strict bien que l'amidon soit un composant obligé du processus industriel. Ce processus devrait prévoir une cuisson telle que l'ensemble de l'amidon cuise afin que la digestion de chaines libres ne porte pas à conséquence. Si les croquettes sont très dures, cela signifie généralement que les croquettes ne sont pas cuites, mais extrudées (moulées sous pression) et donc peu digestes... Les fibres font partie des composants hydrocarbonnés, récemment l'accent a été mis sur l'importance en alimentation Humaine sur le carractère SAIN d'une alimentation riche en fibres. Ceci est correct bien évidement mais nous ne devons pas en déduire que la réciproque est vraie pour le furet C'est en fait juste le contraire, au moins de fibres au mieux pour le furet Les furets ont un tube digestif très court et n'ont pas de caecum cette partie postérieure aux intestins où chez les omnivores s'effectue la digestion des fibres. Les fibres sont donc uniquement une charge et il convient d'avoir un taux de fibres le plus bas possible. Les fibres feront partie de tout aliment mais un taux de 3% est le maximum. Des régimes riches en fibre ont été associés avec des problèmes rénaux et des calculs. Vitamines Normalement la nourriture contient toutes les vitamines nécessaires et l'apport non raisonné peut lui être dangereux voire toxique. Il existe deux types de vitamines (hydrosolubles et liposolubles...) Les teneurs en vitamines liposolubles sont exprimées en IU/kg (Unité Internationales / kg) Elles comprennent les vitamines A,D,E,K et peuvent être stockées par l'organisme du furet. Bien que les furets raffollent de produits contenant de la vitamine A, son excès peut produire des effets toxiques, la prudence est donc de mise Les vitamines hydrosolubles comportent entre autres la vitamine C, B et d'autres comme l'acide folique. Si les vitamines hydrosolubles ne sont pas stockées, les pertes doivent donc impérativement être compensées par la nourriture, par contre tout excès sera simplement éliminé par excrétion.Mineraux
De nouveau comme pour les vitamines, à moins de recevoir un avis médical autorisé le mieux est l'ennemi du bien, une nourriture adaptée comportant normalement tous les éléments minéraux requis.l'eau
Noublions pas l'eau, d'autant plus si nous nourrisons avec un aliment sec. Une des préoccupations actuelles des chercheurs est de vérifier si le furet compense bien le manque d'eau des aliments sec en buvant, ou si les calculs et problèmes renaux ne serait ps du à une hydratation insuffisante sans entaîner de signes aigus de deshydratation.Comparons les aliments
Voilà nous avons trouvé l'étiquette... la part la plus facile Maintenant il faut la comprendre... Facile diriez vous ???? Il serait possible de comparer des aliments de meme nature enfin si les pourcentages étaient calculés de même manière Et que faire pour des aliment de nature différente ? comment comparer croquettes et terrines ou produits naturels ? C'est possible, mais pas sans l'aide de petits calculs... Voyons cela en nous concentrant sur le taux de protéines d'un aliment. Normalement l'ingédient le plus important est mentionné en premier, ou comme un pourcentage du total. Examinons donc ce qui contient donc le plus de protéines : une croquette, une terrine, ou des morceaux en sauce ... Pour effectuer le calcul il nous faut le taux d'humidité du produit et de le comparer au taux de protéines... Typiquement nous pouvons établir le tableau suivant : protéines humidité morceaux en sauce 8 75 terrines 20 25 croquettes 30 10 Premierement nous allons recalculer le poids de la matière seche MS = 100% - le % d'humidité protéines humidité MS morceaux en sauce 8 75 25 terrines 20 25 75 croquettes 30 10 90 ensuite diviser le taux de protéines par le taux de matière seche.. protéines humidité MS Tx protéines/MS morceaux en sauce 8 75 25 32 % terrines 20 25 75 27 % croquettes 30 10 90 33 % Ceci nous permet de comparer effectivement et de constater que les morceaux en sauce sont aussi riches que les croquettes... Il existe actuellement une polémique autour de l'alimentation du furet certains ne jurent que par l'alimentation 'naturelle' d'autre par la composition de menus spécialement étudiés et composés industriellement. Il n'y a pas de secret, l'alimentation en fin de compte est de notre responsabilité article original écrit par : Dr June Mc Nicholas, 68 Ashington Grove, Coventry, CV3 4DE Tel/Fax 02476 305911 Email J.McNicholas@warwick.ac.uk Pour toute réaction au sujet de cet article veuillez d'abbord vou refférrez à l'original http://homepage.ntlworld.com/ferreter/health06.htm une erreur dans la traduction n'est pas exclue. un autre article à lire source : http://www.wfc.cwc.net/feeding_ferrets.htm
Et du côté Americian
Voici je pense le plus interressant des articles sur le menu du fret par le véto ... Ce qu'il dit qu'il donne LUI à SES fufus et comment il le prépare.... Article18 Régime alimentaire du furet posté au FFML le 8 juin 1998 (Diet 101). " Ce que Bob Church donne à ces furets : Il écrit : Oui. J’utilise, actuellement, les croquettes comme nourriture de base. J’ai un bac de 20 gallons (76 litres) dans mon congélateur, rempli de croquettes mais d’un mélange de différentes variétés. Pour faire le remplissage, je mets 2 gallons (7,6litres) de croquettes Totally ferrets, Science Plan, Iams, Shepard and Green et de la nourriture à chat Excell, plus 1 gallon (3,8 litres) de chaque nourriture de haute qualité (pour chats et furets), pour remplir le conteneur. Ensuite, je mélange le tout et, au moment de m’en servir, je mélange 1 volume de croquettes avec " Zupreeme diet " pour carnivores (quand j’en trouve). Je conserve les croquettes au congélateur car : 1/ elles restent fraîches, à l’abri des insectes et des moisissures. 2/ cela maintien le taux d’humidité invariant. 3/ cela diminue les odeurs. Les boites pour chats : J’utilise une large panoplie de nourriture pour chats, de bonne qualité ( ou des boites pour furets lorsque j’en trouve ), je prends les boites les plus chères et à base de tous les types de viandes. Les boites pour chiens : Une fois par mois, je prends les boites haut de gamme, comme friandises. Le poisson : De façon habituelle, je donne de la truite ou du saumon, mais le thon en boite (au naturel) n’est pas mal non plus. Ils apprécient l’eau parfumée au thon, et les furets malades le préfèrent au Pedilyte. Le poulet : Je donne des pots pour bébés à base de poulet, du poulet en boite, des dos, des cous, des ailes, des coeurs, foies et gésiers, des os ainsi que les restes de poulet de mes repas.(" Foster " adore le poulet BBQ). Je fais aussi bouillir mes restes d’os et de viande de poulet ou de dinde, j’y ajoute des morceaux de foie et des croquettes moulues et je sers cela comme " soupe ". Très appréciée ! Boeuf : Je fais des boulettes avec des hamburgers, du boeuf séché et du boeuf en sauce croquettes. Le foie de boeuf est apprécié en petits morceaux. Sauce croquettes : Prenez un moulin à café pas cher (15-20 Euro) pour réduire les croquettes en poudre et utilisez les comme farine pour faire des sauces qui serviront à introduire de nouveaux aliments. Coquillages et assimilés : Très bon, je les fais toujours cuire de suite. Je donne aussi des escargots du jardin, ils adorent. La plupart des furets adorent les crevettes et les écrevisses. Insectes et assimilés : Je donne assez souvent, des cafards, des punaises d’eau, des sauterelles, des criquets. (NDT j'ajoute le vers de farine tenebrio molitor à la liste) Habituellement, pour les insectes les plus durs, seul l’abdomen est mangé. Des carcasses crues : J’achète des souris et des rats, parfois des poussins congelés. Je décongèle les carcasses à la température de la pièce avant de les servir. Pour les furets qui ne veulent pas manger les carcasses, je découpe celles ci poils et ongles compris. Les os : Ils ont une part importante dans l’alimentation de mes furets, os de poulets ou de dinde. Les os de boeuf sont léchés et polis mais ils sont trop durs pour qu’ils puissent manger la moelle. Pour le poulet, je donne les os du cou et du dos, car ceux ci ne font pas d’éclats et ils sont très riches en moelle, ainsi que les fémurs et les ailes. Les furets adorent le cartilage de ces os ; normalement je les donne crus, mais j’inclus aussi les os cuits restant de mes repas. Les produits laitiers : Je donne des petits bouts de fromage, de temps en temps, comme gâteries, et quelques gorgées de lait. Chaque jour, pour les furets de petit poids, je donne une cuillerée à dessert de crème fraîche épaisse ; pour les furets de poids normal, une cuillerée à café une fois par semaine. Les fruits : Les furets peuvent avoir des cubes de 1,25 cm de côté de fruits frais ou un seul morceau d’un fruit sec par jour. Les raisins sont les préférés, mais la pomme, les baies et le melon sont aussi appréciés. Les oeufs : Le blanc d’oeuf cru peut donner des anémies ; aussi, pour mes furets, je fais les oeufs brouillés, j’ajoute des morceaux de bacon ou je donne les jaunes d’oeuf non utilisés pour la cuisine. Les suppléments : Pour les jeunes furets (kits) je leur donne des souris et des rats congelés, ainsi que des os de poulet. Pour un furet en pleine croissance, meilleure est sa nourriture, meilleure sa taille deviendra ( dans les limites de sa programmation génétique). Pour les furets plus âgés, je tends à diminuer un peu les protéines et à augmenter la ration en os pour lutter contre les risques d’ostéoporose, constatés chez les furets stérilisés. Chaque furet a droit soit à de la pâte " nutrical " ou à un produit anti-boules de poils (N.D.T : du type ferretvite) en alternance, suivi d’un soupçon de ferretone. Pour les furets plus âgés je donne quotidiennement une gorgée de jus de canneberge (cranberry), j’ajoute de la vitamine C à l’eau de boisson afin de la conserver et acidifier les urines. Les interdits de Bob Church : Aucun furet n’est autorisé à manger des fruits acides comme le citron vert ou le citron jaune ; l’ananas est à éviter car il attaque, agresse, l’émail des dents. De même sont interdits les morceaux de légumes frais durs (carottes, etc...) même s’ils réclament. C’est non, pour presque toutes les sucreries, je donne quelques menus morceaux de chocolat, pas de soda, quelques minuscules gorgées de café décaféiné et très peu de cacao. Les mauvaises manies de Bob : " Carbone " adore les boules soufflées au maïs (cornuts ?) et je lui en donne un à l’occasion. " Bear " raffole des pepperonis, je lui en donne une tranche ou deux quand je mange des pizzas. " Jezabell " aime les graines de tournesol, elle s’installe sur mes genoux et les mangent dès que j’ai cassé l’enveloppe. " Nosette " adore les cherrios, (N.D.T : préparation du type corn flakes, pour petit déjeuner, en forme d’anneaux ) et les réclame même ceux qui sont tout aux céréales. " Moose " apprécie beaucoup le café et il finit habituellement le petit fond de la tasse d’Elisabeth (je déteste le café). " Apollo aime la purée de pommes de terre et je lui en donne un petit peu mais pas plus d’une fois par semaine. On peut difficilement éloigner " Amber " de la sauce " taco bell fiery (N.D.T : sauce piquante mexicaine) aussi je lui en laisse lécher un peu sur mes doigts. J’admets, à contre coeur, que la plupart des furets peuvent me convaincre de leur céder des petits morceaux d’oreos (cookies au chocolat). " Article 19 Régime alimentaire du furet posté au FFML le 12 juin 1998 (Diet 101). Bob church écrit : " Désolé, il y aura un article supplémentaire après celui-ci...J'ai mal calculé. Vous trouverez ci-dessous certaines de mes recettes, vous garderez à l’esprit que lorsque je dis cuit, je veux dire quand même très saignant, " bleu ". Généralement, excepté pour les aliments hachés, la contamination bactérienne des aliments crus est en surface. Si vous pouvez cuire la surface de l’aliment et laisser l’intérieur aussi cru que possible, vous éliminerez toutes les craintes et les risques d’une contamination par les salmonelles et les E.Coli, vous aurez une nourriture quasiment crue. " Nota bene " : certaines personnes évoquent l’utilisation de peroxyde pour éliminer les bactéries, je n’ai jamais essayé, aussi je ne ferai , cette fois, aucun commentaire sur le sujet. Le blanchiment des aliments, pendant une minute à l’eau bouillante, est efficace. Si la contamination bactérienne a gagné les tissus internes de la viande crue, cela signifie qu’elle est gâtée et l’odeur, ainsi que la couleur de celle-ci, devraient vous l’indiquer. Les putois européens et les furets (redevuenus) sauvages de Nouvelle Zélande mangent souvent des charognes, leur système de défense immunitaire est donc efficace pour lutter contre ce type de bactéries. La résistance à ces bactéries est généralement acquise, suite à une exposition à long terme ; mais comme les furets de compagnie sont peu exposés à ce genre d’agression et donc peu résistants, je recommande de jeter toute viande douteuse. RECETTES : Couper des morceaux de poulet de 2,5cm sur 1cm (os inclus). Dans un faitout ou une poêle convenant, faire fondre du saindoux pour obtenir une épaisseur de graisse fondue de 2-3mm, ensuite faites revenir rapidement les cubes de poulet afin de brunir la surface et de garder l’intérieur bleu (cru). Réservez les morceaux de poulet. Après égouttage et refroidissement, mettez ces morceaux dans un bol et pulvérisez dessus la ferretone. Ajoutez une demi-tasse de croquettes en poudre (prenez un moulin à café bon marché) et mélangez. Ensuite congelez de façon à ne pouvoir décongeler et utiliser que les portions de nourriture nécessaire. Le shake au thon de " Foster " : Prenez une boite de thon au naturel, mettez la dans un bol de mixer jus compris, ajoutez 1/8 de tasse de crème fraîche épaisse (N.D.T : les tasses US, les " mugs " me paraissent assez grandes environ 150cm3, donc à vérifier ? !) une cuillère à café de beurre de cacahuète et quatre os de poulet. Mixer jusqu’à obtenir une consistance crémeuse genre " milk shake ", au besoin étendre avec du pédialyte (N.D.T : de l’eau fait l’affaire) Les bâtonnets (snacks) de " Bear " : Prenez de la poitrine fraîche bon marché, enlevez le gras, découpez la viande en lanière de 5mm d’épaisseur, mettez les sur le plateau du déshydrateur, pulvérisez dessus de la ferretone à l’aide d’un atomiseur, saupoudrez sur le dessus de la farine d’os (pour consommation humaine) La super soupe de " Stella " : Portez à ébullition 2 litres (1/2 gallon) d’eau, plongez y les os de dinde ou de poulet restant de votre repas. Coupez en petits morceaux les restes de peaux, les gésiers et tous les restes, mettez les à cuire avec les os. Faire bouillir jusqu’à ramollissement des os (environ 20 minutes), ajoutez une cuillère à café de bouillon de poulet. Vous pouvez épaissir la soupe avec des croquettes broyées, ou de la crème fraîche. ou encore le mélange pour le furet malade à gaver La sauce " d’Appollo " : A consommer tel que ou comme sauce pour accompagner d’autres aliments. Faites chauffer de l’eau, ajoutez une cuillère à soupe de saindoux, et faites le fondre. Pressez 4 pouces (2,5cm) de nutrical, ajoutez-les avec 6 gouttes de ferretone, épaississez l’ensemble avec des croquettes moulues. Le stick à mâchouiller de " Tui " : Achetez de la gélatine non aromatisée et bon marché, la dissoudre dans de l’eau bouillante jusqu’à ce que celle-ci ne se dissolve plus (solution sursaturée). Jetez y du poulet ou du boeuf haché, parfumez avec du bouillon cube de boeuf ou de poulet. Versez le mélange sur un plateau à cookies (si vous préférez, vous pouvez utiliser des moules à cookies ou des moules pour desserts à gélifier) et après solidification, les découper en rectangles. Mettez les dans le déshydrateur pendant plusieurs heures pour obtenir des rectangles caoutchouteux durcis. Vous avez obtenu un produit à mâcher peu onéreux pour votre furet. Le ragoût pour carnivores : Récupérez tous les restes de vos repas comportant de la viande, peau de poulet, os cassés ou écrasés, gésiers, gras et déchets.. Faire bouillir jusqu’à cuisson complète. Ajoutez des croquettes entières (1/3 du volume total)et si la préparation est pauvre en matières grasses, ajoutez un peu de saindoux ou d’huile de poisson. La variété est la clef d’une alimentation équilibrée et même si les croquettes restent la base de la nourriture, l’introduction de nouveaux aliments accroît l’intérêt du furet. J’utilise en alternance des croquettes, un mélange de croquettes et de nourriture crue, ensuite n’importe quelle autre chose à laquelle je puisse penser. Je réalise ceci sur des cycles de 3 jours ; le jour où je donne les croquettes je les laisse à disposition toute la journée, pour les deux autres jours, je leur donne deux repas et entre temps la nourriture est mise dans le réfrigérateur. Je donne les gâteries entre les repas ou après le repas du soir. Je donne une souris congelée par jour à certains de mes furets. " Article 19 bis Régime alimentaire du furet posté au FFML le 14 juin 1998 (Diet 101). Note du modérateur de la Ferret Mailing List (FML) : Un chapitre 19 a été envoyé il y a deux jours, mais le chapitre 19 d’aujourd’hui est différent de l’autre ! ! ! Bob Church écrit : " La principale difficulté à vaincre pour améliorer la nourriture des furets n’est pas l’accès aux données nutritionnelles réelles des furets, ni de prendre la décision effective d’établir des changements dans l’alimentation de ses furets ; l’étape réellement la plus délicate est de convaincre nos petits monstres de manger autre chose. Vous pouvez proposer à vos furets des aliments qui feraient bondir de joie un putois mais que les furets regarderont dédaigneusement et repousseront. Vous leur en mettez un petit morceau dans la gueule, et ils le recracheront aussitôt avec l’air de dire : " recommence et je ferai mes crottes n’importe où, sauf dans les boites prévues pour ". La difficulté réside dans les mécanismes de reconnaissance de la nourriture par les furets. Ils ont un instinct très prononcé qui leur fait attaquer les petits animaux en fonction de la façon dont ceux-ci se déplacent ou de leur vitesse de mouvement, mais la reconnaissance de la nourriture, elle, n’est pas instinctive, elle est inculquée par la mère et l’homme lorsqu’ils sont tout petit. La mère enseigne aux petits furets ce qui est bon ou mauvais, avant même que les furets aient les yeux ouverts et cette reconnaissance est enregistrée dans le cerveau via l’odorat. Ces choix alimentaires sont quasiment acquis pour le reste de la vie du furet entre le sevrage et l’âge de 4 à 6 mois. De 6 mois à 1 an, l’apprentissage à la reconnaissance de nouveaux aliments est réalisable ; au delà d’un an, les " jeux " sont quasiment faits. Dans le cas des furets, la reconnaissance de la nourriture n’est pas visuelle mais olfactive. Ceci signifie que si quelque chose n’a pas la même odeur que sa nourriture habituelle, le furet ne pensera pas que cela soit comestible. *Remarque pour le "CaCaland" (N.D.T : il s’agit de la Californie où les furets sont interdits par la législation de l’état) : cela signifie que les furets ne sortiront pas pour détruire la faune locale ; un furet tuera un petit animal qui court devant lui, mais il ne prendra jamais un canard ou une souris pour de la nourriture, donc il n’ira pas à leur recherche pour les manger. Cette mémorisation olfactive de ce qui est considéré comme nourriture ou ne l’est pas est difficile à contourner, voire dans certain cas impossible. Mais il existe un certain nombre de trucs qui permettent d’aboutir ; bien sûr dans le cas de furets âgés qui n’ont pas eu d’expériences de nourriture variée c’est pratiquement désespéré, mais il ne faut pas perdre espoir. Dès qu’un jeune furet arrive chez vous, la meilleure chose à faire est de commencer à lui donner une alimentation très variée durant toute la première année de sa vie. Ceci préparera votre furet à aimer une alimentation proche du " naturel " dont il a besoin physiologiquement (et psychologiquement) besoin pour être en bonne santé ! Commencez jeune et faites leur goûter à tout et vous n’aurez pas de problème par la suite. Pour les furets plus âgés, il y a des astuces qui ont fonctionné avec les miens. Les furets qui n’ont jamais eu d’os savent très rarement quoi en faire. Tout d’abord habituez votre furet à manger du poulet en petit pot pour bébé, ensuite tremper le bout des os de poulet dans le pot afin de stimuler son désir de le croquer. C’est aussi une bonne façon pour essayer de leur faire manger des morceaux de viande de poulet. En réalité pour moi le passage a été plus graduel, avant de faire accepter les os de poulet , je suis passé par le bouillon de poulet, puis la crème de poulet, les morceaux frits, le poulet et enfin les os. Une fois qu’ils ont trouvé un aliment savoureux, ils l’acceptent sans problème. Avec certains furets, j’ai eu des difficultés à leur faire goûter les petits pots de poulet pour bébé, j’ai contourné le problème en mettant avec mon doigt un petit peu de crème de poulet sur le bout de leur nez, les obligeant ainsi à lécher, et donc à goûter, un peu de ce produit. Pour démarrer mélangez les petits pots avec 50% de crème fraîche épaisse (N.D.T : ou de graisse d’oie ou de canard au naturel) semble très efficace. Essayez plusieurs fois et au besoin, mettez en un peu directement dans la gueule, la plupart apprécieront ce mélange. Une autre astuce consiste à essayer de faire correspondre l’odeur d’une nouvelle nourriture, avec une des odeurs que le furet associe à un aliment connu. J’utilise un moulin à café (environ 20 EURO) pour broyer ses croquettes préférées en une fine poudre. Cette poudre de croquettes peut servir à enduire de nouvelles croquettes, ou à restituer une odeur appréciée à de la viande crue ou cuite hachée finement. Cela marche très bien, plus la poudre est fine, plus c’est efficace. Retirez la nourriture aux furets pendant plusieurs heures et ensuite présentez-leur la nouvelle, enrobée de poussière de croquettes. Cette méthode donne des bons résultats, principalement si le furet a bien faim. C’est à cette étape que beaucoup de personnes bloquent (" calent ") ; ayez la foi et laissez la faim aider à réaliser le transfert. Parfois, je prends un morceau de l’ancienne nourriture et un de la nouvelle et je leur présente alternativement jusqu’à ce que les deux soient mangés. En dernier recours, je réduis les croquettes en poudre (moulin à café), je mouds ou je mixe la nouvelle nourriture (pour la viande, j’obtiens une pâte). Mélangez ensemble et humidifiez avec du nutrical ou de la ferretone. Faire des petites billes avec le mélange et les sécher pour faire de nouvelles croquettes (N.D.T : pour cela il faut un déshydrateur ou les passer au four) . Une fois qu’ils mangent ces boulettes, diminuez, progressivement, la quantité de poudre de croquettes, jusqu’au moment où ils seront habitués à la nouvelle nourriture. En définitive le goût et l’odorat sont relativement liés, voyez l’altération du goût quand vous êtes enrhumés. Votre furet a sûrement le sens du goût plus développé que le nôtre (leur palette des différents goûts est certainement équivalente à la nôtre, mais leur odorat associé est quant à lui beaucoup plus important (N.D.T: l’odorat du furet est plus fin que celui du chien). Je suis persuadé que les croquettes n’ont pas aussi bon goût les unes que les autres. Le goût et la texture de celles-ci sont certainement différents de ceux des aliments " naturels ", mais de toutes les façons les différences gustatives personnelles interviendront. Je n’aime pas les betteraves rouges, votre furet peut aussi ne pas aimer la nouvelle nourriture que vous voulez lui faire essayer. Si votre furet apprécie un assaisonnement particulier, libre à vous de l’utiliser pour masquer une nouvelle nourriture. Par exemple, " Bear " adore la sauce Taco bell épicée (N.D.T : attention à l’ulcère à l’estomac !) si j’en mets sur quelque chose, il le mange.En définitive, vous voyez que les systèmes de reconnaissance de la nourriture sont programmés en " hard " dans le cerveau des furets, lorsque la période d’apprentissage de l’enfance est terminée. Faire accepter de nouveaux aliments aux furets revient à reprogrammer le hard de leur cerveau. Ce n’est pas facile et dans certains cas il est impossible de refaire les nouvelles connexions. Pour l’introduction de nouvelles nourritures, utilisez votre sens commun, préférez une démarche progressive à des changements brutaux ; essayez de commencer par introduire des nouveautés dont l’odeur ou la texture sont proches d’une connue. Des petits changements progressifs, dans l’alimentation, semblent être la voie du succès ".
Ressources et liens
l'avis des fufus de l'Ohio l'avis de vetos US l'avis de "nos furets" Regard Critique sur l'alimentation du Furet (Firme Hagen) Alimentation pour le furet malade à gaver
et la pâtée reconstituante soupes reconstituantes US et un autre site a aussi un tableau comparatif http://home.wanadoo.nl/defret/voedingingr.htm composition http://www.nosfurets.net/croquettes.php comparatif prix croquettes : http://www.nosfurets.net/tarifs.php
les mélanges que j'utilise :
ma "potion" en cas de sous alimentation extrême bien mélanger : un jaune d'oeuf, une cueillière de gras de creme de lait, une ceuillière de lait chaton, une ceuillière d'huile de saumon ou de foie de morrue, un comprimé de fructose (dextroenergen ou equivallent) ecrasé donner par petites quantités 5 à 10 ml à la pipette toutes les h s'il le faut masser la gorge et le tube digestif pour faciliter l'ingestion (ca marche très bien pour les furetons et les hérissons) éventuellement fait une pape avec les croquettes aussi parfois les croquettes leurs semblent trop dures quand ils sont faibles le lait chaton se trouve aussi en grande surface maintenant, achetez par toute petites quantités, sinon les petits berlingo de creme de lait (style pour thé ou café) contiennent très peu de lactose mais beaucoup de graisse.le mélange de base mélange Energi et Kroketter Poulet
MGrasses viande protéines humidité MS Tx protéines/MS Prix /kg (environ variable suivant quantité) Energi 21 % 28% 30 % 8 92 33 % 5,0 Euro Optimal 18 % 20% 28 % 10 90 31 % 5,0 Euro Kroketter 9 % 10% 32 % 10 90 35 % 4,5 Euro
Composition kroketter : Analyse moyenne Protéines brutes 30 % Matières grasses 9 % Cendres brutes 8 % Cellulose brute 2,5 % Hydrates de carbone 40,5% humidité relative 10 % minéraux 8% Calcium 1,5 % cuivre 15 mg/kg Phosphore 1,1 % Taurine 0,1 % Magnesium 0,08 mg/kg Vitamin A 25000 IU/kg Vitamin D 1200 IU/kg Vitamin E 100 mg/kg Taurine 0,1% digestibilité 90% énergie métabolisable 3780 kcal | Composition Optimal Mini Analyse moyenne Protéines brutes 28 % Matières grasses 18 % Humidité 10 % Cendres brutes 8 % Cellulose brute 2,5 % hydrates de carbone 30,5% Calcium 1,4 % Phosphore 0,9 % sulfate de cuivre 25mg/Kg Vitamine A 25000 IU/kg Vitamine C 50 mg/kg Vitamine D 1200 IU/kg Vitamine E 120 mg/kg digestibilité 92% énergie métabolisable 4150 kcal |
A sassiété, le temps de la présentation, complémenté tous les jours par des vers de farine ou des asticots, et une fois par semaine par des morceaux de gras de saumon (peau & huile...)
Pour le restant mes furets sont des chasseurs à l'écurie, les souris sont attrappées et mangées, et parole de furet, il ne reste RIEN d'une souris, c'est mangé promptement et proprement...