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- entrainement - matériel - santé à l'entrainement et au vet gate - intendance
Il existe d'autres sites spécialisés sur l'endurance compétitive
et toute une bibbliographie
Ici
le but est pluôt de mettre en évidence le caractère
complet de la discipline et sa parfaite accessibilité aux personnes
souffrant de déficiences. Je signale que beaucoup de cavaliers
semblent ignorer l'existance de la catégorie d'endurance
"initiation -promenade" qui est réservée aux non licenciés
(et pas lincencieux) qui comme moi ne visent pas le premier degré
(ni les autres) mais le plaisir d'un défi à soi même
dans le respect du cheval.
Cela se passe au même endroit dans les memes conditions et avec les mêmes impératifs (le brevet mis à part) que les compétiteurs. => même les cavaliers qui ont surmonté leurs handicaps et qui tiennent en selle avec du matériel adapté sont admis... d;-)
L'endurance impose également un parfait respect du cheval car cavalier et monture partent pour de nombreux km et seront sujets à de nombreux controles,
Enfin elle présuppose une maitrise des techniques de TREC (Reglement
Technique
de Randonnée Equestre de Compétiton) :
une maîtrise des allure, une autonomie par la lecture de carte,
et le franchissement des divers accidents de terrain et situation rencontrées
en chemin (pont, barriere à ouvrir, passage pour piéton à
franchir, arrêt prolongé immobile à un feu rouge etc...)
seront abordés ici :
- entrainement
- matériel
- santé à l'entrainement et au
vet gate
- intendance
quelques ouvrages de référence
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Quelque soit la monte l''entrînement ne se conçoit que
si le cheval est déjà "aux ordres", d'abord les fondations
et ensuite on éleve les murs, rien ne sert à commencer par
construire d'abord un toit pour essayer ensuite de mettre des caves dessous...
Le restant de la rubrique s'inspire d'un article de Yvon Cranfort sur des données du Docteur Garnier publié dans Cheval Evasion basé sur un programme léger d'entrainement sur une semaine
Les premiers sorties (4 à 5 semaines) se dérouleront sur des distances courtes et au pas en incluant de nombreux dénivelés de terrain. Au moindre signe de chaleur ou de fatigue des membres le cheval sera mis au repos (au box pas en prairie)
Dès que la monture aura développer les aptitudes de ce premier programme on pourra songer à allonger les distance et à entrecouper les parties de pas par de petits passages au trot qui seront alleger jusquà atteindre 10 à 15 minutes.
On surveillera toujours la récupérationcar il faudrait
que dans les 10 minutes le cheval ait récupéré...
(attention avec un jeune cheval l'exitation seule peut amener une FC
assez haute...)
La vitesse n'est pas l'objectif mais bien la résitance à
l'effort.
Qui veut aller loin ménage sa monture, l'entrainement se base
sur l'état de la monture et non sur le calendrier ou l'envie d'un
résultat immédiat.
Ce n'est qu'environ trois mois après le début de l'entrainement
que des sorties de longues distances d'entraïnement seront entreprises.
L'étape suivante consitera en trois sorties au minimum par semaine
avec un jour de "repos" entre chaque "sortie"
la première sortie (15Km/h)
la deuxième sortie (15Km avec alternance de pas et de trot avec
un petit temps de galop calme)
la troisième sortie pourra atteindre 30 Km (avec alternance
de pas et de trot avec plusieurs petits temps de galop calme)
J1 | TERRAIN VARIE AU PAS |
J2 | TROTTING 10 MIN + 10 MIN |
J3 | DRESSAGE |
J4 | TROTTING 10 MIN + 15 MIN |
J5 | DRESSAGE |
J6 | RANDONNEE |
J7 | REPOS |
Note le plus ancien traité d'entrainement à l'endurance
est celui de Kikuli écuyer Mâdian de l'époque sumérienne....
(edition Caracole Favre)
Pour creer differents parcours rien ne vaut la diversité et la bonne connaissance de son environnement différentes "bornes" dans le paysage permettent de connâitre les distances parcourues et donc d'estimer saa vitesse :
Tableau de temps necessaire (minute)
pour parcourir une distance à vitesse moyenne en Km/h
moyenne km/h |
5
|
10
|
15
|
20
|
25
|
30
|
35
|
40
|
45
|
50
|
8 (rando)
|
38
|
74
|
112
|
150
|
184
|
224
|
262
|
300
|
318
|
374
|
endurance
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||||||||||
12
|
25
|
50
|
75
|
100
|
125
|
150
|
175
|
200
|
225
|
250
|
14
|
21
|
42
|
64
|
85
|
105
|
126
|
147
|
168
|
189
|
210
|
15
|
20
|
40
|
60
|
80
|
100
|
120
|
140
|
160
|
180
|
200
|
16
|
19
|
37
|
56
|
75
|
94
|
112
|
131
|
150
|
169
|
187
|
Si une allure est plus facile, il faut travailler toutes les autres,
et ne jamais "forcer" pour cela la connaissance des critères du
vetgate est essentielle.
Le cavalier quant à lui a bien besoin de maintenir sa condition
physique un excellent ouvrage à ce propos est celui publier par
Vigot "En forme à Cheval"
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Voici ma petite grille pour les vetgates du temps où je maniais le sthétoscope...
Tous les contrôles se font par comparaisons entre les mesures
avant course et au vet gate
à l'arrivée au vet gate et après 30 minutes
![]() |
en arrière de la pointe du coude durant
60 secondes
éventuellement avancer l'antérieur attention le stress peut s'accroître du fait de l'auscultation |
fatigue, stress, présence d'autres chevaux,...
bruit normal
V v v v V v v v Normalement les 4 systoles doivent être entendues (4 pulsations par rythme),
(VV) (VV) (VV) (VV) Après un effort important les pulsations peuvent se superposer
et deux battements sont discernables
V\ v v v \V v v v Un souffle se traduit par un chuintement dégressif.
V v v v . . . . V v v v V v v v : extassystole
tout autre releve de troubles cardiaques
Attention trucs
la fréquence cardiaque augmente en cas de rétention urinaire :
vérifier la pression sur la sangle au contrôle!
flatter le cheval à l'encolure calme le cheval et diminue la fréquence cardiaque
Points de repères
36 : normal
40 : excellente récupération
60 : limite à l'arrivée stress important
64 : élimination et contrôle strict état sanitaire
alarmant veto d'office
le même examen permet d"écouter les bruits digestifs
et respiratoires
vétérinaire
si boiterie sur un antérieur :
le cheval charge le membre sain, il baisse l'encolure sur le membre
sain
si boiterie sur un postérieur :
soit 'cou déhanché' : problème musculaire sur
le membre douloureux
soit report de tête sur le diagonal
Truc de confirmation :
Si boiterie : pulsation sensible entre les os du canon ou sous le boulet
Note: une boiterie d'effort est fréquente sur de longues distance
il importe de diagnostiquer une boiterie réelle de simple marques
d'effort car le cheval comme tout sportif n'est pas inépuisable
et après un effort une certaine raideur est tout à fait compréhensible
et acceptable, ici c'est l'expérience du vétérinaire
d'endurance qui est primordiale
si déshydratation l'élasticité
est faible alarme si t > 3s
attention si le taux de graisse est faible l'élasticité
est faible.
attention au coup de chaleur
attention si début diarrhée et effort risque de colique
majeur : contrôle veto d'office
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Cavalier et monture partent en extérieur et pas question de rentrer à la selleire en cas de problème il faut assumer sur place mais surtout prévenir par un choix de matériel de qualité et un bon entretien.
Savoir repérer à temps une usure d'une couture permet de stopper son désagrêchement, et une fissure dans le cuir d'une sangle ou d'une étriviere doit entrainer son remplacement, vérifier aussi les couteaux de la selle.
personellement je considère que l'équipement suivant indispensable
une bombe (de préférance blanche pour la chaleur, j'ai une noire et en été je transpire...) avec un encrage sur plusieurs points, et une visiere translucide (ce qui permet de voir quand on fonce tête baissée dans les branches...) des vêtements amples et bien aérés (si le temps est très froids, plusieurs couche de fin vêtements sont plus efficaces généralement qu'un gros) si possible des textiles style Polar, Gortex,etc... Le ciré étanche est à proscrire car ne permettant pas l'évaporation de la transpiration des chaussures ou bottes confortables et permettant une longue marche à pied...
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L’INTENDANCE DU CAVALIER D’ENDURANCE
(valable tout autant pour les randonnées et sorties en groupes)
Comme tous les grands chefs de guerre, Napoléon attribuait une importance capitale à l’intendance de son armée… et à la sienne encore plus. Héritier de ces longues chevauchées, le cavalier d’endurance doit lui aussi organiser efficacement son intendance. Or, les observateurs de l’endurance en général et belge en particulier, ont constaté, soit directement sur le terrain ou encore mieux en visionnant des cassettes vidéo, de nombreux manquements dans l’organisation de certaines équipes. Si les vieux routiers de la discipline ont au fil du temps peaufiné leur « team suiveur », il en va tout autrement des nouveaux venus. Mal préparés, mal informés, ils sont malgré une bonne volonté certaine, peu efficace, voire dangereux !
Globalement, les défauts principaux sont :
- mauvaise lecture des cartes d’où
mauvais « suivi » de l’épreuve
- manque de professionnalisme lors
des interventions
- trop de personnes inopérantes
autour d’un même cheval
C’est un peu pourquoi il semble important aux yeux des responsables
de l’endurance de revoir et de recadrer le problème.
Nombre et choix des personnes formant une équipe
Nous parlons ici d’une équipe, cas le plus fréquent sur la plupart des courses. Il est bien évident que sur certaines grosses épreuves et surtout en fonction du parcours et des accès possibles, plusieurs équipes sont parfois nécessaires… mais le problème reste le même sur le plan fonctionnel, il est simplement multiplié par…
L’équipe idéale est relativement limitée : deux à quatre personnes semble raisonnable. Si le team est réduit à deux personnes, celles-ci seront évidemment polyvalentes. On devra trouver des gens qui sachent : conduire un véhicule même dans des endroits peu accessibles, lire une carte, s’occuper intelligemment du cheval et du cavalier, réapprovisionner éventuellement le véhicule en vivre, eau, matériel, etc. On excluera donc d’une équipe qui se veut efficace l’ami à qui l’on veut faire plaisir mais qui a peur des chevaux, qui ne roule que sur route asphalté ou qui n’a jamais vu une carte IGN de près. La compétence et l’entente d’une équipe peuvent donc à un moment donné faire basculer dans un sens (favorable) ou dans l’autre (défavorable) les chances d’un bon classement pour son cavalier et sa monture. Plus l’épreuve sera pénible et plus l’équipe suiveuse aura un rôle primordial à jouer tout au long de la compétition. En dehors des qualités « routières » (conduite du véhicule et lecture des cartes), le suiveur idéal devra :
Nous envisageons ici l’ensemble du problème qui sera partagé
par toute l’équipe, y compris bien évidemment le cavalier.
Le cheval sera alimenté normalement la veille (surtout en gardant
les mêmes produits) et son petit-déjeuner lui sera servi deux
heures avant le départ. N’oublions pas un dernier contrôle
général du cheval avec vérification de la ferrure.
Concernant le matériel, il est judicieux de prévoir des
coffres ou des caisses (par exemple empilables en plastique) de couleurs
différentes pour le matériel du cheval et pour le cavalier.
Une check-liste que vous aurez établie et complétée
au fil du temps facilitera grandement ce travail.
En plus, on s’équipera de cartes (si possible IGN) de la région sur lesquelles on retranscrira le parcours, les points d’eau naturels et éventuellement ceux placés par l’organisateur, en fonction de ceux-ci et des difficultés de terrain. On indiquera l’itinéraire du véhicule d’intendance et les points de rencontre. Attention, la circulation en forêt par exemple est strictement réglementée par décrets (Belgique).
Sur les grosses épreuves, on pourra rectifier une dernière fois les interventions de son assistance en participant au briefing de l’organisateur et on planifiera la tactique de course. Généralement sur les épreuves bien organisées, le responsable du parcours indique sur la carte un itinéraire « intendance ».
On emportera les documents officiels (licence, immatriculation, carnet
sanitaire du cheval en ordre), on n’oubliera pas un chrono, un stéthoscope
(si on sait s’en servir) et si possible un moniteur cardiaque.
Attention, l’équipe d’intendance ne doit pas casser le rythme
du cheval en intervenant trop souvent, elle devra «faire le mort
» si le cavalier ne désire pas son intervention. De
même si elle pense avoir raté un rendez-vous, elle n’insistera
pas pour ne pas en louper un second.
Remarques : Avant le passage au contrôle, vérifier si des cailloux ne sont pas coincés dans les sabots.
Attention au dopings involontaires. En voici quelques-uns d’usage courant : alcool camphré, chocolat, vicks dans les naseaux, aspirine, sprays contenant un anesthésique local,…
N’oubliez pas de mettre un tapis de selle propre et sec en resellant
le cheval.
Yvon Van Cantfort
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Choisir un cheval d’endurance
La carrière des bons chevaux d’endurance est longue, souvent plus de dix ans au plus haut niveau. Par contre, beaucoup disparaissent très vite. Le temps et les moyens à mettre en œuvre pour ‘fabriquer’ un cheval d’endurance sont considérables et partir d’un bon pied est vital. Reconnaître les manquements de sa monture et pouvoir laisser tomber à temps est malheureusement un problème qui s’est posé à beaucoup d’entre-nous et la décision n’est pas facile.
Si vous demandez à dix cavaliers d’endurance comment choisir un bon cheval, vous aurez probablement dix réponses différentes et en aparté on finira le plus souvent par avouer que pour leur champion, seule la chance a joué !
Si l’on pouvait à partir de critères scientifiques calculer tous les paramètres d’un cheval, les additionner et déterminer si ce cheval sera un bon cheval d’endurance, tout le monde le saurait. La réalité est bien différentes : pas moyen de savoir comment fonctionnera encore le métabolisme après tous ces entraînement ! Est-ce que le cœur continuera à pomper comme il le faudra ? Et les poumons, apporteront-ils l’oxygène aux muscles ? Et le système locomoteur, tiendra-t-il ? Et le mental du cheval ?
Pas facile ! Avec un minimum de sélectivité, on pourra
cependant éviter bien des désillusions.
On parle beaucoup de telle ou telle lignée ayant plus d’aptitudes
à l’endurance, avec des résultats probant de produits en
endurance. C’est vrai ! Est-ce dû au géniteur, à la
jumenterie ou au nombre de sujets testés en endurance ? Si quelques
cavaliers d’endurance sérieux et capables s’associaient pour sélectionner
un peu partout quelques produits, et les entraînaient correctement,
n’atteindraient ils pas de bons résultats ? C’est pratiquement certain
!
Pourquoi ? Parce que l’expérience accumulée durant toutes
ces années de compétition leur permettra de rejeter d’emblée
les sujets à problèmes : les fainéants, les maladroits,
les stressés, les mal conformés, les perdants, et ainsi de
suite.
Ils rechercheront un cheval plutôt indépendant avec un caractère affirmé, donc qui ne s’occupe pas trop de ses congénères, qu’ils soient devant ou derrière. Ils pourront éventuellement se laisser tenter par les annonces du type ‘Pour cavalier confirmé’, indiquant un cheval ‘à problèmes’ et ‘à petit prix’ que l’endurance pourrait canaliser.
Ils s’orienteront vers un gros mangeur/buveur car on ne fait pas une course de 160Kms avec un chipoteur de mangeoire qui maigrira à vue d’œil dès que l’entraînement deviendra intensif. Evidemment, il rechercheront un sujet avec au moins 50% de sang arabe ; bien qu’il y ait de très bons individus dans les autres races et que tous les arabes ne soient pas nécessairement de bons chevaux d’endurance !
Ils préféreront un sujet vert (4/5 ans), bien que des chevaux commençant sur le tard ne doivent pas être négligés, pour autant qu’ils aient été nourris, parés, vermifugés et montés correctement.
Ils tenteront de connaître le passé médical du prospect
: pas de boiterie, coliques, coup de sang ou infections pulmonaires. Un
rythme cardiaque très bas (inférieur à 30) au repos
est parfois recherché, bien que les meilleurs performers soient
dans la moyenne et que l’on recherche plutôt des capacités
à récupérer vite.
Ils seront influencés par la conformation du cheval, bien que
une bonne conformation associée à un métabolisme défectueux
mène immanquablement à une impasse ! On cherchera néanmoins
une harmonie générale tout en gardant en tête que l’on
veut un marathonien et pas un coureur de 100 mètres!
Donc : une encolure assez longue et fine, un dos porteur en évitant les dos trop longs, des membres solides bien que ce soit surtout la densité et non le volume osseux qui compte, un pied large, solide et bien ouvert, avec du talon et des aplombs les plus corrects possible (n’oublions pas que ces chocs répétés sur de mauvais aplombs se traduiront immanquablement par des boiteries), l’épaule idéale sera bien oblique, les jarrets devront plus propulser que porter…
Et puis ils voudront des allures élastiques et économes, au trot comme au galop, et un cheval qui engage bien au pas. Il sera important de vérifier comment s’effectue le poser aux trois allures car des mouvements parasites consomment de l’énergie et sont autant de risques d’atteintes. Il faut avoir l’impression que le cheval ne fait aucun effort, ni au trot, ni au galop !
Pour cela, l’idéal est d’observer le cheval dans sa pâture : comment se déplace-t-il au pas, au trot et surtout au galop ? Il faut avoir l’impression que le cheval vole, sans effort apparent et est adroit dans ses cabrioles. Quand le cheval est excité et arrête net devant les clôtures, si l’on ferme les yeux en attendant le choc, c’est que la confiance n’y est pas. Cependant, il y a des exemples de chevaux soit disant maladroit qui excellent ou ont excellé en endurance, mais dés que le terrain devient technique, ceux-là seront les premiers à glisser ou se couronner !
Pour le sexe, il ne faut pas oublier que les juments sont parfois capricieuses
ou têtues et urinent moins facilement que les hongres ; les étalons
ont un instinct de conservation supérieur aux hongres et ils pourront
jeter l’éponge alors que leurs réserves ne sont pas encore
entamées. Les hongres n’ont pas ces défauts !
Quant au mental du cheval, ils essayeront de s’en faire une idée,
mais cela c’est une autre histoire…qui fait justement la différence
entre simplement le bon cheval et le crack… et ils ne connaîtront
la réponse à cette question que deux ans après
l’acquisition de leur ‘champion’, à l’arrivée de la première
160 Kms !
Léonard Liesens
En savoir Plus
Nous vous invitons à visiter ces pages
dédiées à l'endurance
http://www.ifrance.com/CREE-Picardie
http://shagan.com/Endurance/index.htm
http://www.equinfo.org Reglement
d'endurance -
La Belgian Equestrian Endurance League http://www.endurance-belgium.com
http://www.endurance.be.tf
http://ourworld.compuserve.com/homepages/arbre/AdContact.htm
mailing-liste, rendez-vous à http://www.egroups.fr/group/enduro-cheval
Deux sites tres complet sur le TREC
http://perso.infonie.fr/guy.vancop/
et http://www.equinfo.org/sports/trec/
quelques ouvrages de référence