Démystification de la personne handicapée |
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PRESENTATIONDepuis plusieurs années, Horizon 2000 a développé
différentes actions de démystification de la personne handicapée
à travers des ateliers ou des journées de formation mais
également à travers notre salon Handicom via les différents
parcours de sensibilisation.
Nous recevons de plus en plus de demandes d'information sur les différents
types de déficiences et étant donné que nous sommes
soucieux de développer l'information par rapport à la demande
que nous recevons, nous avons décidé de créer un nouveau
volet au sein de notre site afin de rendre accessible ces informations
au bout de votre souris. Nous ajouterons régulièrement des
informations complémentaires toujours en se basant sur les demandes
formulées par notre public. |
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INTRODUCTIONLe but de ce guide est de fournir, en guise d'aide-mémoire,
des conseils utiles pour communiquer avec des personnes handicapées
et adopter une approche créative afin d'offrir à ces personnes
un service qui soit conforme à leurs besoins. Ces suggestions ne
sont en aucune façon définitives ou statiques ; elles constituent
plutôt un point de départ à partir duquel élaborer
des techniques efficaces.
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LA DEFICIENCE VISUELLE1. Définir la déficience visuelle.2. Identifier les principales déficiences de l'œil, leurs caractéristiques, leurs effets. 3. Connaître la prévalence de la déficience visuelle dans la population. 4. Etre informé des caractéristiques de la personne ayant une déficience visuelle. 5. Connaître les méthodes d'intervention auprès des personnes ayant une déficience visuelle. 6. Etre informé des adaptations et des aides techniques favorisant l'accès des services publics aux personnes ayant une déficience visuelle. |
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LA DEFICIENCE AUDITIVE1. Définir la déficience auditive.2. Identifier les principales déficiences de l'ouïe, leurs caractéristiques, leurs effets. 3. Connaître la prévalence de la déficience auditive dans la population. 4. Etre informé des caractéristiques de la personne handicapée auditive. 5. Connaître les méthodes d'intervention auprès des personnes ayant une déficience auditive. 6. Etre informé des adaptations et des aides techniques favorisant l'accès des services publics aux personnes handicapées auditives. |
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1. Définition de la déficience auditiveLa déficience auditive se définit comme une incapacité à entendre normalement.Les personnes qui ont une audition normale entendent les sons de faible intensité. Leur audiogramme montrerait une courbe où les seuils auditifs se situent entre 0 et 15 décibels pour les enfants et 0 et 25 décibels pour les adultes. Les degrés de surdité varient de léger à
profond.
2. La déficience auditiveQuelleques définitionsPersonne sourde (atteinte de surdité) Personne éprouvant une absence de perception des sons. Personne ma entendante Personne ayant une surdité partielle. Ces personnes éprouvent des difficultés à entendre à des degrés di ers. Pour quelques-uns, les sons de haute fréquence sont imperceptibles alors que pour les autres, ils n’entendent pas les sons de basse fréquence. Une personne qui a perdu la capacité d’entendre certaines fréquences, ne les entendra pas quel que soit l’intensité du volume. L’oreilleL’oreille est composée de trois parties principales l’oreille externe, l’oreille moyenne et l’oreille interne.1. L’oreille externe se compose du pavillon (partie visible) et du conduit auditif à l’intérieur de l’oreille. Elle a comme principale fonction de capter les sons et de les acheminer vers l’oreille moyenne. 2. Le tympan est une membrane fibreuse, translucide qui sépare le conduit auditif externe de l’oreille moyenne. Il se comporte comme une membrane non-tendue, qui transmet les vibrations sonores à l’oreille moyenne. Outre la fonction de capter les sons l'oreille interne assure aussi
une régulation de l'équilibre.
4. L’oreille interne est, quant à elle, le éritable organe de l’audition. C’est à ce niveau qu’on entend. Elle est constituée de milliers de cellules sensorielles qui transmettent les sons au nerf auditif qui, à son tour, les achemine au cer eau. C’est là que sera traitée l’information auditive. C’est lorsqu’un problème sur ient à l’une ou l’autre
des trois parties de l’oreille que la personne développe une déficience
auditive. Les problèmes relatifs à l’oreille externe (bouchons
de cérumen, par exemple), peuvent être traités médicalement.
Les pertes auditives à ce niveau sont donc le plus souvent temporaires.
Par contre, lorsqu’une anomalie se produit au niveau de l’oreille interne,
la perte d’audition est irréversible et permanente.
Les causes de la surditéCauses prénatales
Les types de surditéIl existe trois types de surdité1. La surdité de transmission- affecte la transmission des sons ;- atteint l’oreille externe ou moyenne ; - causes possibles présence de corps étrangers, otite externe (infection dans le conduit auditif), otite moyenne (infection de l’oreille moyenne), sclérose des osselets, perforation du tympan ou malformation. 2. La surdité de perception- affecte la perception des sons ;- atteint les cellules nerveuses de l’oreille interne et le nerf auditif et peut progresser, de façon habituellement permanente ; - causes possibles hérédité, malformation congénitale, séquelles d’une maladie (par exemple, la méningite) ou de son traitement, exposition prolongée aux bruits, accident. Il n’y a aucun traitement médical en général, sauf l’implant cochléaire qui consiste dans l’implantation de deux électrodes dans la cochlée pour lui redonner un influx nerveux. La perte auditive peut être de divers degrés, de 25 décibels à 130 décibels et plus, selon les fréquences. 3. La surdité mixte- c’est à la fois une surdité de transmission et de perception ;- peut être permanente ou temporaire ; en effet, la composante de conduction peut parfois être traitée (par exemple, les otites), ramenant la surdité à une surdité neuro-sensorielle. Les acouphènesLa personne entend des sons, des bruits intermittents ou continus dans l’oreille.La presbyacousieSurdité du vieillissementLes spécialistes de l’auditionL’auto-rhino-laryngologiste (ORL) médecin spécialisé dans les maladies du nez, de la gorgeet des oreilles. L’audiologiste évalue l’acuité auditive et facilite le développement auditif. L’audioprothésiste évalue, conçoit, fabrique et ajuste les appareils auditifs. Le logopède travaille au niveau de l’éducation et de la rééducation de la parole et du langage. 3. Prévalence de la déficience auditiveEn Belgique, il y a en iron 400.000 personnes malentendantes dont 40.000 à n’avoir jamais entendu.4. Caractéristiques de la personne ayant une déficience auditiveIl existe une croyance populaire à l’effet qu’une personne affectée de surdité n’entend rien. Cependant, la réalité est tout autre. Les manifestations de la surdité arient d’un individu à l’autre. La majorité des personnes qui ont une déficience auditive conservent un résidu auditif qu’elles peuvent utiliser pour percevoir la parole ou les sons environnants.On croit à tort qu’un appareil auditif (« prothèse
auditive ») ramène l’audition à la normale.
Ses comportementsSES MODES DE COMMUNICATION
Ces deux modes de communication confèrent à leur utilisateur
des comportements caractéristiques :
L’oralisme est la méthode privilégiée par de nombreuses personnes ayant une déficience auditive pour comprendre le langage parlé. Comme les yeux servent à lire sur les lèvres, cette méthode insiste d’abord sur le COMMENT DIRE a ant d’insister sur le QUOI DIRE. En général, la personne ayant une déficience auditi e ne comprend que 30 à 40 % par la lecture labiale ; le reste, elle doit le deviner ou se servir de son bon sens. La personne qui communique en langage gestuel, quant à elle, est caractéristique elle utilise un code gestuel pour communiquer ses idées, ses sentiments, etc. Elle représente généralement dans la population l’image stéréotypée de la personne ayant une déficience auditive, alors qu’une petite partie des personnes ayant une déficience auditive utilise le langage gestuel. La langue des signes est la langue naturelle des sourds et une
expression vraie de leur culture.
Dans la langue des signes, les gestes prennent la place des mots. Les mouvements des mains et des bras remplacent les éléments parlés de la langue. Chaque geste est appelé signe et, comme les mots, il devient l’unité de base de la langue un symbole représente une action, un objet, un sentiment ou un concept comme les noms, les verbes et les adjectifs du langage parlé. Les signes se combinent pour former des phrases qui expriment des pensées complètes. Toutefois, la langue des signes n’est pas simplement le français exprimé avec les mains au lieu de la voix. C’est une langue distincte qui a une grammaire et une syntaxe à elle. Elle est très concise, très expressive et, comme la plupart des langues, ne se traduit pas toujours directement en français. Cependant, plusieurs mots ne peuvent se traduire par signes ; on utilise alors l’épellation digitale ou la « dactylologie » qui correspond chez les personnes entendantes à l’alphabet du français écrit. L’oralisme et le langage gestuel sont quelquefois regroupés sous
le vocable de « langages visuels ».
NOTE la Gendarmerie
Belge propose dans deux brigades un "interprete oraliste gendarme"
LES MOYENS DE COMMUNICATION UTILISES PAR LES PERSONNES SOURDES OU MALENTENDANTES
Ses caractéristiques affectives et socialesA cause de sa difficulté de communication, la personne sourde a souvent une attitude de retrait et d’isolement. Aussi, de peur de ne pas comprendre, elle peut parler beaucoup.Ses caractéristiques intelectuellesLa personne peut avoir des difficultés de conceptualisation, de saisir l’abstrait, manque d’information et de vocabulaire.La surdité est une déficience invisible qui signifie beaucoup
plus que la privation de stimuli sonores, elle peut signifier l’absence
ou la perte de l’interaction sociale, d’information, d’éducation,
de divertissement ou de contact humain.
5. Intervenir auprès d’une personne ayant une déficience auditive
Avec une personne ayant une déficience auditive dans un grand groupe :
Entre deux personnes, les principaux points à observer pour communiquer en oralismesont :1) un éclairage adéquat ; au besoin, se déplacer
;
L’oralisme en groupe
Travailler avec un interprète gestuelLorsque deux interlocuteurs estiment que la situation est si complexe qu’il faudrait un interprète, il faut alors en chercher un. Mais, n’oubliez jamais de consulter d’abord la personne sourde. Celle-ci vous dira si elle préfère cela et peut ous indiquer des noms. Il est souvent difficile de comprendre ce que dit une personne sourde de naissance.N’hésitez pas à lui demander de répéter.
Si, malgré les répétitions, vous ne comprenez
toujours pas,
Les sourds doivent faire un très grand effort de concentration pour vous comprendre. C’est très fatigant pour eux. Aussi, soyez patient. Quand on a recours aux services d’un interprète gestuel, il ne faut pas oublier que vous en avez besoin, vous et la personne sourde. L’obstacle à la communication est double le sourd ne vous entend pas, mais vous ne connaissez pas sa langue. L’interprète a pour rôle de faciliter la communication, non pas d’y participer. Il agira uniquement comme lien entre vous et le sourd. Selon son code professionnel, l’interprète ne fait pas de remarques et ne donne pas son opinion. On ne doit pas lui demander de le faire. Quand on a recours à l’interprétation gestuelle ou orale, on parle directement à la personne sourde et non à l’interprète. Il n’est donc pas nécessaire de commencer vos phrases par « Dites-lui … ». Il est plus respectueux et plus poli de s’adresser directement à la personne sourde elle-même. L’interprète se place à droite ou à gauche des
interlocuteurs. Dans un groupe, il se tient habituellement à côté
du meneur de groupe. Cela permet aux sourds de voir la personne qui
parle et l’interprète.
L’interprète ne peut interpréter qu’une seule personne à la fois. Il lui est impossible d’interpréter plusieurs interventions simultanées. Le chef de groupe de rait statuer qu’une seule personne parlera à la fois. L’interprétation est toujours en retard de quelques mots ou de quelques phrases, par conséquent, le conférencier fera de courtes pauses pour laisser aux sourds le temps de répondre ou de poser des questions. Dans les discussions de groupe, il est difficile de suivre lorsque la parole passe de l’un à l’autre. Pour permettre aux sourds de sa voir quelle est la personne qui parle, il est utile de la montrer et de faire une légère pause. La fatigue visuelle surgit lorsqu’un sourd doit suivre les gestes de l’interprète pendant longtemps. Prévoyez donc des pauses régulières qui atténueront ce problème. L’interprète doit garder le secret professionnel et être
discret.
Dans le cadre d’une réunion
Dans une conférence, un sourd devrait s’asseoir à l’avant de la salle pour bien voir le visage du conférencier. Assurez- vous que celui-ci est bien éclairé. Il serait très utile, avant une conférence ou un film, d’en remettre un bref résumé au sourd. S’il s’agit d’un cours de formation, tâchez de fournir à l’avance une liste des nouveaux termes employés ; il est presque impossible de lire sur les lèvres des mots qui ne sont pas bien connus. Essayez d’éviter de marcher en parlant et ne parlez pas pendant que vous écrivez au tableau. Les moyens visuels sont très importants pour les sourds, car la vue constitue leur principale source de réception de l’information. Utilisez le plus possible les rétroprojecteurs, les tableaux, les films, les diagrammes, les graphiques et autres moyens visuels. Quand l’image apparaît sur l’écran ou le tableau, interrompez votre discours pour permettre aux personnes sourdes de regarder l’image ; ensuite, poursuivez. Il existe de nouvelles techniques comme la boucle d’introduction magnétique que l’on peut installer dans une salle de conférence pour permettre aux porteurs de prothèses auditives de mieux suivre ce que dit le conférencier, tout en filtrant les bruits de fond (contrairement aux lunettes qui corrigent la vision, les prothèses auditives ne corrigent pas l’ouïe mais amplifient tous les sons). Trop de gens parlent trop vite. Ralentir le débit permet sou ent de mieux communiquer. On devrait répéter les questions ou interventions venant de l’arrière de la salle, car tout ce que les sourds ne voient pas leur échappe. Quand des renseignements importants sont donnés, assurez- vous de ne pas oublier de les communiquer aux sourds. Inscrivez par écrit tout changement aux heures et dates de réunion, les tâches spéciales et les instructions additionnelles. Quand vous montrez où se trouvent des documents ou que vous demandez aux auditeurs de consulter tel manuel, prévoyez un peu plus de temps, car les sourds doivent premièrement chercher la référence, puis reportez de nouveau leur attention sur le professeur ou le conférencier pour voir ce qu’il dit. Les sourds doivent se concentrer très intensément sur
ce que dit la personne qui parle. Il leur est presque impossible de détourner
les yeux pour prendre des notes. Ce serait donc une aide précieuse
que de pré oir quelqu’un qui prendra des notes pour eux (de préférence
une personne qui écrit clairement et qui sait comment prendre des
notes). Un volontaire peut offrir de prendre ses propres notes avec
une copie au carbone et remettre l’original dès la fin de la conférence.
On peut également louer ce genre de service.
6. Adaptations et aides techniques favorisant l'accès des services pubics aux personnes a ant une déficience auditiveLE TELEPHONE / MINITEL (ALTO)
LE TELEPHONE / FAXC’est le moyen de communication le plus utilisé par les personnes déficientes auditives à l’heure actuelle. Il permet d’envoyer des documents écrits de façon très rapide à toute personne possédant également un fax.Les SMS des GSMPermettent une communication de courts messages (140 caratères) avec toute personnes équipée elle aussi d'un apaareil de même type. Certains modeles permettent même des "connversations" par l'enchainement des divers messages, d'autres possedent un clavier analogue à celui d'une machine à écrire (saufla taille) parfois en optionInternetMoyen de grande diffusion où pour une fois le sourd n'éprouve pas de réelle difficulté à participer à la vie communautaire, Internet étnt jusqu'à présent essentiellement écrit.LES EMISSIONS SOUS-TITREES POUR MALENTENDANTSLes téléviseurs munis due système télétexte peu ent faire apparaître le texte qui défile au bas de l’écran pendant l’émission.NB toutes les émissions ne sont pas sous-titrées. LES APPAREILS AUDITIFS! Les prothèses auditives acoustiquesCes appareils fonctionnent à l’aide de piles, ils sont placés soit à l’extérieur de l’oreille (les contours d’oreille) soit à l’intérieur de l’oreille externe et ils dirigent les ondes sonores captées par un microphone vers le canal auditif. Ils permettent donc d’amplifier les signaux acoustiques. Il en existe différents types mais il faut préciser qu’ils ne restituent jamais une audition « normale » à la personne, ils tirent le meilleur parti possible des capacités d’audition résiduelle et il y a souvent des distorsions au niveau des signaux perçus. ! Les prothèses auditives électriques
Mais ces informations sonores sont de mauvaise qualité et le
recours à cette prothèse doit impérativement
s’accompagner d’une éducation auditive et orale appropriée
qui permettre de décoder tout doucement les sons.
LES AMPLIFICATEURS POUR TELEPHONECes appareils peuvent être utilisés avec les appareils auditifs. Une commande permet d’ajuster le volume aux besoins de l’utilisateur.LES APPAREILS DE TRANSMISSION MF, PAR ONDES INFRAROUGES OU DEBOUCLE MAGNETIQUECes systèmes permettent de transmettre les sons d’un haut-parleur directement aux appareils auditifs ou aux récepteurs des personnes qui en portent. Ces systèmes sont utilisés en grand groupe (classe, auditoriums, …).LES AVERTISSEURS VISUELSClassés en deux catégories (systèmes lumineux et systèmes vibrateurs), ces appareils permettent aux personnes qui ont une déficience auditive de mieux contrôler leur environnement.Les premiers transmettent l’information sonore en information visuelle par l’entremise d’un système lumineux que la personne ayant une déficience auditive peut percevoir. Le second fonctionne sur le même principe, sauf que des vibrations informe la personne des changements dans son environnement. SIGLE INTERNATIONAL DE L’ACCESSIBILITE DE LA DEFICIENCE AUDITIVEDes autocollants de ce symbole peuvent servir à identifier les dossiers des clients ayant une déficience auditive afin que la communication soit facilitée dès les premiers contacts avec lui.CHARTE DU MAL ENTENDANTLe Mal entendant est un être humain respectable , il a le droit
Et pour apprendre la langue des signeshttp://www.denhaag.org/~vitaalhttp://www.dovenschap.nl
Le site du monde des sourds
La surdité au Québec sourds et malentendants
Le site du monde des sourds
Education des enfants sourds
L'interprétation en langue des signes : Nouveautés
Service offert par la Gendarmerie Belge
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LA DEFICIENCE INTELLECTUELLE1. Définir la déficience intellectuelle.2. Identifier les causes de la déficience intellectuelle. 3. Connaître la prévalence de la déficience intellectuelle dans la population. 4. Démystifier la déficience intellectuelle. 5. Connaître les méthodes d'intervention auprès des personnes ayant une déficience intellectuelle. |
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LA MALADIE MENTALE1. Définir la maladie mentale2. Identifier les principales maladies mentales, leurs caractéristiques, leurs effets. 3. Connaître la prévalence des troubles psychique dans la population. 4. Démystifier la maladie mentale. 5. Etre informé des caractéristiques de la personne ayant une maladie mentale. 6. Connaître les méthodes d'intervention auprès des personnes ayant une maladie mentale. |
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basé sur : http://www.h2000.be/download/mentale.PDF
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LA DEFICIENCE PHYSIQUE1. Identifier les principales déficiences physiques, leurs caractéristiques, leurs effets.2. Connaître la prévalence de la déficience physique dans la population. 3. Connaître les méthodes d'intervention auprès des personnes ayant une déficience physique. 4. Être informé des adaptations et des aides techniques favorisant l'accès des services publics aux personnes handicapées physiques. 5. Le fauteuil roulant - son emploi - son entretien - les adaptations aux constructions |
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basé sur : http://www.h2000.be/download/physique.PDF
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VERS L'INTEGRATION1. Connaître les trois étapes de l'intégration sociale des personnes ayant une déficience et les différents intervenants.2. Identifier les motifs qui amènent les personnes ayant une déficience à s'intégrer. 3. Vivre une situation d'intégration. |
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basé sur : http://www.h2000.be/download/integration.pdf
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ATTITUDES ET VALEURS1. Etre confronté à des situations concrètes
que vivent les personnes ayant une déficience et en identifier les
obstacles.
2. Identifier NOS perceptions de la personne ayant une déficience.
3. Identifier les préjugés et les valeurs véhiculés par la société. |
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basé sur : http://www.h2000.be/download/valeurs.PDF
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basé sur : http://www.h2000.be/download/conclusion.PDF
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- Retour à l'accueil d'Handicom http://www.h2000.be/Menuhand.htm Page originale Réalisé par Patrick POLLEFOORTdans le cadre de sa formation professionnelle au Réseau. |
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que vous trouverez à l'adresse suivante (cliquez sur l'icone get Acrobat Reader). Télécharger le logiciel.http://www.adobe.fr/ Note il n'est pas compatible avec des lecteurs aural et autres... |
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* Nous : Handiplus.com et ipo3api... http://www.handiplus.com et http://ipo3api.ibelgique.com |
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