Démystification de la personne handicapée |
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PRESENTATIONDepuis plusieurs années, Horizon 2000 a développé
différentes actions de démystification de la personne handicapée
à travers des ateliers ou des journées de formation mais
également à travers notre salon Handicom via les différents
parcours de sensibilisation.
Nous recevons de plus en plus de demandes d'information sur les différents
types de déficiences et étant donné que nous sommes
soucieux de développer l'information par rapport à la demande
que nous recevons, nous avons décidé de créer un nouveau
volet au sein de notre site afin de rendre accessible ces informations
au bout de votre souris. Nous ajouterons régulièrement des
informations complémentaires toujours en se basant sur les demandes
formulées par notre public. |
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Le but de ce guide est de fournir, en guise d'aide-mémoire,
des conseils utiles pour communiquer avec des personnes handicapées
et adopter une approche créative afin d'offrir à ces personnes
un service qui soit conforme à leurs besoins. Ces suggestions ne
sont en aucune façon définitives ou statiques ; elles constituent
plutôt un point de départ à partir duquel élaborer
des techniques efficaces.
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LA DEFICIENCE VISUELLE1. Définir la déficience visuelle.2. Identifier les principales déficiences de l'œil, leurs caractéristiques, leurs effets. 3. Connaître la prévalence de la déficience visuelle dans la population. 4. Etre informé des caractéristiques de la personne ayant une déficience visuelle. 5. Connaître les méthodes d'intervention auprès des personnes ayant une déficience visuelle. 6. Etre informé des adaptations et des aides techniques favorisant l'accès des services publics aux personnes ayant une déficience visuelle. |
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LA DEFICIENCE AUDITIVE1. Définir la déficience auditive.2. Identifier les principales déficiences de l'ouïe, leurs caractéristiques, leurs effets. 3. Connaître la prévalence de la déficience auditive dans la population. 4. Etre informé des caractéristiques de la personne handicapée auditive. 5. Connaître les méthodes d'intervention auprès des personnes ayant une déficience auditive. 6. Etre informé des adaptations et des aides techniques favorisant l'accès des services publics aux personnes handicapées auditives. |
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LA DEFICIENCE INTELLECTUELLE1. Définir la déficience intellectuelle.2. Identifier les causes de la déficience intellectuelle. 3. Connaître la prévalence de la déficience intellectuelle dans la population. 4. Démystifier la déficience intellectuelle. 5. Connaître les méthodes d'intervention auprès des personnes ayant une déficience intellectuelle. |
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LA MALADIE MENTALE1. Définir la maladie mentale2. Identifier les principales maladies mentales, leurs caractéristiques, leurs effets. 3. Connaître la prévalence des troubles psychiques dans la population. 4. Démystifier la maladie mentale. 5. Etre informé des caractéristiques de la personne ayant une maladie mentale. 6. Connaître les méthodes d'intervention auprès des personnes ayant une maladie mentale. |
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1. Définition de la maladie mentaleMalgré l’évolution sociale et les progrès de la psychiatrie actuelle, nous ne pouvons résumer dans une définition claire et précise la complexité des phénomènes que constitue l’ensemble des troubles mentaux.Disons que la maladie mentale se présente comme une perturbation qui affecte la pensée, les sentiments ou le comportement d’une personne à un point tel que sa conduite devient incompréhensible et inacceptable pour son entourage. Donc, l’ individu est affecté autant dans son équilibre personnel que dans ses relations avec autrui. Selon le modèle utilisé le plus couramment en psychiatrie
contemporaine, le modèle bio-psychosocial, la maladie mentale ne
présuppose aucune cause un dimensionnelle mais plutôt un agencement
ou une accumulation de facteurs d’ordre biologique, psychologique et social
affectant négativement l’équilibre d’un individu
« Maladie mentale » ne signifie pas « déficience
mentale » ! Cette dernière est un état qui limite les
capacités d’apprendre d’une personne.
2. La maladie mentaleLa maladie mentale peut altérer la personnalité de certains individus ou les rendre incapables de distinguer le réel de l’ imaginaire. Elle peut être la cause de périodes de profonde dépression ou elle peut entraîner des pensées bizarres, des illusions ou des hallucinations.En général, la maladie mentale est considérée
comme étant curable. Une certaine partie de la population a souffert,
souffre ou souffrira d’un trouble mental pendant sa vie.
Les causes de la maladie mentale! Facteurs organiques (dérèglements métaboliques)- infections intracrâniennes - affections cérébrales (tumeurs, thrombose, etc.) - alcoolisme - toxicomanie ! Facteurs psychologiques (troubles affectifs et émotifs)
! Facteurs socio-culturels
Les grands types de maladies mentalesLa schizophrénie
Plusieurs cliniciens décrivent les symptômes typiques de
la schizophrén e comme étant
Les symptômes négatifs comportent, entre autres :
Les deux groupes de symptômes se retrouvent dans cette maladie mais pour chaque personne atteinte, l’un ou l’autre groupe prédominera. Habituellement, les médicaments contrôlent les symptômes positifs ; ils ont néanmoins peu ou pas d’effet sur les symptômes négatifs. La schizophrénie n’est pas un problème de personnalité multiple. De plus, elle ne peut pas être traitée par la psychanalyse. Il s’agit d’un trouble du fonctionnement au plan cérébral. Personne n’est à blâmer. Cependant, les médicaments
peuvent réduire les symptômes.
Les troubles shizo-affectifsQuelques personnes manifestent des symptômes communs à la schizophrénie et à la psychose maniaco-dépressive. Ces troubles n’ont jamais été bien définis ni étudiés.Les médecins traitent ces maladies avec une combinaison de tranquillisants majeurs et de lithium. Les personnes souffrant de ces troubles ont souvent un pronostic (chances
de guérison) qui s’avère meilleur que celui de la schizophrénie
; néanmoins, ce pronostic est inférieur à celui
relié aux troubles de l’humeur.
Les troubles affectifsLes troubles affectifs ou troubles de l’humeur comprennent la dépression (trouble affectif unipolaire) et la psychose maniaco-dépressive (trouble affectif bipolaire). Ces problèmes sont courants en psychiatrie et affectent une certaine partie de la population adulte en tout temps.Ils se manifestent essentiellement par des troubles de l’humeur. On
remarque, lors d’une maladie bipolaire ou psychose maniaco-dépressive,
des cycles de dépression grave en alternance avec des cycles de
manie
Les maniesDans la manie, on retrouve les symptômes suivants : énergie sans limite, enthousiasme débordant et hyperactivité ; propos rapides et disparates ; ton de voix élevé ; accès de colère ; disposition à argumenter constamment ; implication dans des activités aux conséquences fâcheuses comme achats extravagants, conduite automobile imprudente, investissements financiers non judicieux ; idées fausses, déraison.Lorsqu’elle est déprimée, la personne peut avoir du mal à dormir, perdre intérêt pour ses activités quotidiennes ; perdre l’appétit ; se sentir diminuée, coupable ou désespérée ; être triste, incapable de se concentrer ; devenir très irritable. Lors d’une dépression unipolaire, seuls les symptômes dépressifs sont présents. On ne doit pas confondre la dépression unipolaire décrite ci-dessus avec la réaction dépressive ou trouble affectif situationnel qui est un état temporaire causé par les épreuves de la vie. Dans le cas où il persisterait, la personne devrait consulter
un médecin afin de déterminer si cet état ne devient
pas une dépression majeure.
Les troubles de l’anxiétéLorsqu’elle est grave, l’anxiété peut être considérée comme une maladie mentale. Environ 7% de la population en souffre . Dans l’état de panique, caractérisé par des crises récurrentes de panique, la personne ressent des étourdissements et des douleurs au niveau de la poitrine ;elle a l’impression d’étouffer et transpire abondamment. Ces crises ne durent en général que quelques minutes, mais la crainte d’être victime d’une autre attaque et le sentiment d’ impuissance qui s’ensuit compliquent la situation. Il existe d’autres formes d’anxiété telles la peur d’objets particuliers (phobies) et la peur des lieux publics (agoraphobie). Les troubles de la personnalitéCertains croient que les désordres qui suivent ne constituent pas en eux-mêmes des maladies mentales, alors que d’autres affirment le contraire, du moins dans les cas graves. Toutefois,pour le bien-être des parentes et la fam lle, on notera que certains comportements justifient une consultation auprès d’un professionnel. C’est une vaste catégorie de troubles reliés à une façon rigide et déformée, profondément ancrée, d’établir des rapports, de percevoir et de concevoir l’environnement ansis que sa propre personne.Ces troubles ressortent clairement chez les individus qui ne peuvent s’ajuster La boulimie est un autre trouble alimentaire qui consiste à
manger jusqu’à l’éclatement, à provoquer le vomissement
et à faire un usage excessif de laxatifs. Le principal traitement
pour les troubles alimentaires est la psychothérapie. La médication
peut aussi être prescrite.
La guérison de la maladie mentaleQuand on parle de guérison de la maladie mentale, c’est un phénomène complexe et non entièrement prévisible ; Il peut survenir des problèmes après la maladie qui ne sont pas toujours prévisibles.Pour l’illustrer d’une manière simple et concrète, Comparons
l'évolution possible de la maladie mentale en général
par rapport à une blessure physique telle que la rupture d’un tendon.
Les médicamentsLes médicaments peuvent aider les personnes affligées de maladie mentale. Ils peuvent alléger la détresse et l’angoisse causées par une maladie grave en contrôlant ses symptômes.De plus, ils peuvent empêcher une rechute dans le cas de la schizophrénie et des troubles d’humeur. Cependant, les médicaments ne « guérissent » pas la maladie et comportent des effets secondaires. Cette brève conclusion permet de constater la complexité du phénomène de guérison de la maladie mentale. Pour conclure, il ne faut pas oublier que les facteurs déclencheurs de la maladie mentale sont également importants à considérer lors de la réadaptation personnelle et de la réinsertion sociale de l’individu malade. 3. Prévalence de la maladie mentaleAu cours de sa vie, une personne sur cinq souffrira d’une maladie mentale, une partie devra être hospital isée.Le phénomène de la désinstitutionnalisation vient augmenter le nombre de personnes ayant une maladie mentale qui fréquentent les services publics 4. Démystifier la maladie mentaleLes mythes :Les personnes atteintes de maladie mentale sont violentes et dangereuses.- En fait, en tant que groupe, les personnes souffrant d’une maladie mentale ne sont pas plus violentes que les autres. En réalité, il est beaucoup plus probable qu’elles soient victimes de violence que d’être elles-mêmes violentes. Les personnes affectées d’une maladie mentale sont pauvres
et/ou moins inteligentes.
La maladie mentale est causée par une faiblesse personnele.
La maladie mentale est un trouble unique et rare.
La maladie mentaie est la même chose que la déficience
mentale.
5. Caractéristiques de la personne ayant une maladie mentaleLes symptômes peuvent varier, mais toutes les personnes affligées de maladie mentale peuvent présenter, à divers degrés, des troubles de la pensée, des émotions et du comportement qu les empêchent de faire face aux exigences de la vie quotidienne. Les symptômes suivants peuvent constituer des signes avant-coureurs de ces maladies mais ne signifient pas d’emblée, à eux seuls, l’existence d’une maladie mentale. Cependant, s’ils persistent ou s’aggravent, on recommande de consulter un professionnel.
Les symptômes de la maladie mentale sont souvent cycliques et
peuvent varier d’intensité d’une fois à l’autre. Un épisode
peut durer de quelques semaines à quelques mois pour certaines personnes
et jusqu’à plus eurs années ou même une vie entière
pour d’autres.
6. Intervenir auprès d’une personne ayant une maladie mentaleTous peuvent avoir un trouble mental un jour.Tous peuvent rencontrer un malade et ne pas être capable de déceler la maladie mentale. Le contact avec la personne hand capée psychique doit être une relation « d’humain à humain ». Les principes des relations humaines s’appliquent ;il s’agit d’observer les cordes sensibles de la personne : - Favoriser celles qui engendrent une bonne relation ; - Eviter celles qui bloquent la relation. La maladie est curable.
1. CREEZ UN CLIMAT DE CONFIANCEPar un accueil chaleureux, calme, spontané, sincère où l’on appréciera votre disponibilité pour répondre aux quest ons. Restez calme ; éviter des réactions basées sur la peur ou sur des stéréotypes ; traitez la personne en adulte qu’elle est. Pour que les contacts soient plus personnels : donner la main, se présenter, demander le nom, etc.2. ACCEPTEZ LA PERSONNE POUR CE QU’ELLE ESTEvitez de diagnostiquer la personne, et l’accepter telle qu’elle est dans son entité, acceptez son vécu souvent très différent (respect).Traitez les demandes de la personne sér eusement, même si elles vous paraissent loufoques. La personne peut être consciente qu’elle a une maladie mentale et ne demande qu’à être acceptée, pas jugée. 3. SOYEZ CLAIRS ET PRECIS DANS LA COMMUNICATIONPour communiquer des informations, utilisez des termes clairs, précis, non enfantins, pas trop techniques.Pour les échanges interpersonnels : détectez les cordes sensibles pour établir une bonne relation. Le regard est plus efficace que la parole, donc utilisez le non-verbal. Certaines personnes peuvent avoir tendance à interpréter vos paroles et à y déceler un double-sens : soyez donc très précis dans vos propos, et ne laissez pas y poindre de sous-entendus. 4. EVITEZ QUE LA PERSONNE S’ISOLEEn situation de groupe ou parm les collègues de travail, créez des situations facilitant les contacts interpersonnels, allez chercher la personne par ses cordes sensibles pour établir une bonne relation. Soyez disponible avant et après l’activité de groupe pour répondre aux besoins de la personne.5. SOYEZ ATTENTIF AU NON-VERBALObservez les mimiques, la voix, le ton qui reflètent les sentiments, les états, les craintes, la peur, la sol tude, la tr stesse. Par exemple, la personne qui vit une crise panique peut commencer à respirer rapidement et à s’agiter ; en restant calme, vous parviendrez peut-être à diminuer l’anxiété que la personne ressent et à la sécuriser.Les situations d’agressivitéTout le monde peut être en colère, et les personnes ayant une maladie mentale ne le sont pas plus que les autres personnes. La colère n’est pas un symptôme de la maladie mentale !Cependant, vous reconnaîtrez peut-être la maladie mentale
chez la personne par les causes qu’elle invoque pour justifier sa colère
(par exemple, la personne peut être en colère contre le maire
qui n’a pas fait déménager la Tour Eiffel au centre-ville
…). la personne est agressive :
Comportement de la personneInterventionAgité : Non-verbale : - parle fort ; marche de long en large. - présence rassurante ; recherche d’un contact visuel. Perturbateur : Verbale :
Destructeur : Verbale et physique :
Homicidaire, suicidaire : De contrôle à maîtrise
:
Que faire en situation de crise d’agressivité …Que faire :1. Gardes vos propres émotions en échec. Parlez calmement de man ère rassurante.Pourquoi Gardez le contrôle de vos propres émotions (conservez votre sang-froid) vous permet de penser rationnellement. C’est ainsi que vous pourrez aider la personne. Si vous devenez vous-même en colère, vous inciterez probablement la personne à le devenir davantage. 2. Observez le langage corporel (« le non-verbal »)
de la personne.
3. Permettez à la personne de ventiler ou d’exprimer ses
émotions.
4. Déterminez l’origine, la cause de la colère de
la personne.
5. Impliquez et responsabilisez la personne dans l’intervention.
6. Fournissez le contrôle, l’encadrement que la personne
requiert.
Ne pas faire :1. Ne pas hausser le ton ; ne pas crier ni argumenter avec la personne ; ne pas la toucher ni envahir son espace personnel.Pourquoi En criant, en argumentant et en touchant la personne, vous pouvez faire escalader la colère. Celle-c vous prévient que transiger avec la personne pourrait la rendre violente physiquement. La personne peut interpréter vos gestes de réconfort comme une agression de votre part. 2. Ne laissez pas la personne se tenir debout entre vous et la
porte.
3. Ne traitez pas la personne avec condescendance ou la traiter
comme un enfant (l’infantiliser).
4. Ne sous estimez pas les sentiments de la personne.
Surveilez votre langage corporel :1. Soyez préparé : quand vous approchez une personne potentiellement violente, gardez vos mains dans une position non-menaçante mais prêtes à vous protéger.2. Posture : vous tenir solidement debout et droit mais non de manière agressive. Ne vous penchez pas vers l’arrière ni démesurément vers l’avant. 3. Equilibre : vous maintenir en position centrée, les pieds légèrement écartés, un pied vers l’avant, vous permet d’être prêt à bouger, vous aide à concentrer vos sentiments et présente au client un air de contrôle équilibré. 4. Contact visuel : jeter un coup d’oeuil autour de la pièce peut indiquer un manque d’intérêt; examiner quelqu’un de haut en bas peut indiquer une attitude agressive. 5. Position des mains : les mains devraient rester dans une position non-menaçante mais prêtes à agir. 6. Gestes : évitez les gestes agressifs tels que fermer les poings, agiter le doigt ou pointer du doigt. Les mouvements de mains, s’ils sont nécessaires, devraient être faits à vitesse modérée et indiquer la réceptivité et la serviabilité. 7. Agitation : gardez la maîtrise de votre propre peur et anxiété ; évitez les gestes ou mouvements rebondissants et rapides. 8. Position : respectez l’espace personnel du client et placez-vous
de façon à être en sécurité.
9. Vitesse d’approche : réduire rapidement l’espace inter-personnel peut être menaçant et diminuer les chances de succès de l’intervention. 10. Expressions faciales : maintenez une express on d’intérêt et de soucis; évitez les expressions punitives et ne prenez pas la situation à la légère. 11. Uniformité : évitez de transmettre des messages confus avec votre corps ; assurez-vous que vos messages verbaux soient compatibles avec votre langage corporel. En résumé :- écoutez attentivement et calmement ;- manifestez de l’empathie ; - amenez l’interlocuteur à retrouver son calme ; - faites préciser la demande ; - fourn ssez une réponse cla re et préc se ; - informez la personne des mesures que vous allez prendre ; - dites ce que vous avez à communiquer, sans commentaires inutiles si l’interlocuteur est toujours en colère ; - recourrez à d’autres personnes en dernière instance. ProtectionLa personne peut faire l'objet de diverses mesures de protection légalesquant à la gestion courrante des biens et du patrimoine. - minorité prolongée - incapacité légale - mise sous tutelle totale ou partielle d'un administrateur provisoire plus d'information auprès de la chambre des notaires, des greffes du tribunal de la justice de paix ou de l'association SIMILES http://www.similes.org |
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basé sur : http://www.h2000.be/download/mentale.PDF |
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LA DEFICIENCE PHYSIQUE1. Identifier les principales déficiences physiques, leurs caractéristiques, leurs effets.2. Connaître la prévalence de la déficience physique dans la population. 3. Connaître les méthodes d'intervention auprès des personnes ayant une déficience physique. 4. Être informé des adaptations et des aides techniques favorisant l'accès des services publics aux personnes handicapées physiques. |
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basé sur : http://www.h2000.be/download/physique.PDF
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VERS L'INTEGRATION1. Connaître les trois étapes de l'intégration sociale des personnes ayant une déficience et les différents intervenants.2. Identifier les motifs qui amènent les personnes ayant une déficience à s'intégrer. 3. Vivre une situation d'intégration. |
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basé sur : http://www.h2000.be/download/integration.pdf
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ATTITUDES ET VALEURS1. Etre confronté à des situations concrètes
que vivent les personnes ayant une déficience et en identifier les
obstacles.
2. Identifier NOS perceptions de la personne ayant une déficience.
3. Identifier les préjugés et les valeurs véhiculés par la société. |
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basé sur : http://www.h2000.be/download/valeurs.PDF
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basé sur : http://www.h2000.be/download/conclusion.PDF
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- Retour à l'accueil d'Handicom http://www.h2000.be/Menuhand.htm Page originale Réalisé par Patrick POLLEFOORTdans le cadre de sa formation professionnelle au Réseau. |
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